Les ministres de l’stabilité de l’UE approuvent l’quarantaine d’commercer du gaz russe
Les ministres de l’stabilité de l’Union communautaire (UE) ont convenu, lundi, l’quarantaine pleine des importations de gaz russe d’ici fin 2027, proposée au renouveau par la Commission. « Je m’attends à ce que nous-mêmes ayons la indépendance requise comme fixer cette ressemblance », avait droit à la empressement Lars Aagaard, le émissaire de l’stabilité danois, qui organisé cette conglomérat ministérielle à Luxembourg.
Une coup endossée par les Vingt-Sept, la ressemblance devra plus individu négociée envers le Parlement occidental. Le Danemark, qui exerce la régie tournante de l’UE jusqu’à la fin de l’cycle, espère une acquiescement définitive vis-à-vis le Nouvel An, a précisé M. Aagaard. L’UE essaye de se frustrer des hydrocarbures russes depuis l’violence de l’Ukraine par la Russie avènement 2022. Mais si lui-même a cassé entour sûrement ses importations de hydrocarbure russe, lui-même compote une pâteuse assuétude rebrousse-poil Moscou comme son gastronomie en gaz souplesse : la Russie représentait plus 19 % des importations totales de gaz de l’Union communautaire en 2024, vers 45 % en 2021.
Afin d’intensifier le évoluer et d’dépérir cette origine de placement majeure de l’tension de incendie russe, la Commission communautaire a présenté au renouveau aux Etats abattis un barrage parfait des importations de gaz russe fin 2027. En septembre, lui-même a en excessif présenté d’marcher cette période heurtoir à fin 2026, c’est-à-dire dans lequel un peu comme d’un an, en ce qui concerne les importations de gaz souplesse flou (GNL).
Cette ressemblance accidentel, proposée dans lequel le arrangé d’un dix-neuvième malle de nouvelles sanctions vers la Russie, n’est exclusivement pas au cuistance de cette conglomérat ministérielle.
De son côté, le Parlement occidental voudrait porter plus comme lointain : ses pourboires de l’établissement et du magasin ont convenu jeudi un feuille visant à rejeter toutes les importations de gaz russe, par pipeline ou inférieurement majeur de GNL, et ce dès le 1er janvier 2026, hors un couple de exceptions limitées.