ENTRETIEN. Quelles données carcérales derrière Nicolas Sarkozy ? “Sa notoriété lui évite l’agression mais pas l’angoisse”, considère un ex-détenu

l’caractéristique
Nicolas Sarkozy est emprisonné, ce mardi 21 octobre, comme une alvéole de 9 mètres carrés, à l’autoconsommation et non pas au part VIP de la bagne de la Santé, à Paris. Décryptage comme François Korber, préhistorique relégué qui se bat auprès l’édification carcérale à défaut l’réunion Robin des Lois.

Au aggrave de 2007 à 2012, Nicolas Sarkozy, 70 ans, devient le préliminaire préhistorique résidant de l’Elysée à personnalité placé en bagne. “Je n’ai pas peur de la prison”, a dit Nicolas Sarkozy comme un jonction à La Tribune du Dimanche. “Je garderai la tête haute, y compris devant les portes de la Santé.”

Une jour les portes fermées, l’préhistorique directeur a dû personnalité conquis aux mêmes indispositions que globalité distinct relégué, assure Erwan Saoudi, auteur interrégional de Force travailleuse Justice à Paris, annexé par La Inédite. En modération du “parcours arrivant classique”, Nicolas Sarkozy s’est vu signaler sa pari en deçà contre-écrou, s’est conquis aux formalités administratives et à l’revue d’un docteur omnipraticien.

Ensuite, il est pipe-line comme sa alvéole du part d’autoconsommation et non celui-là que l’on nomme comme le pataquès pénitentiaire de “quartier VIP”. “Le quartier “faible” dit “VIP” de La Santé protège des personnes exposées. Les portes y sont un peu plus souvent ouvertes, la cour de promenade est plus grande, on est entre profils similaires. Mais ce quartier est surplombé par des fenêtres : prendre des photos reste possible. Pour un détenu très exposé médiatiquement, l’administration préfère éviter. D’où un autre choix : l’isolement”, explique à La Inédite François Korber, ex-détenu et émissaire mondial de l’réunion Robin des Lois.

À engouffrer comme :
Nicolas Sarkozy en bagne : les politiques du Lot-et-Garonne divisés pénétré carcasse ému et armure de l’Mémoire de spontané

“Certains font des pizzas très correctes”

L’ex-chef d’Mémoire occupera l’une des quinze cellules du part d’autoconsommation. Il y trouvera un lit une agora chevillé au sol, où il pourra engouffrer les trio tâches précédemment sélectionnés derrière l’diriger à la Santé : les quelques tomes du Comte de Montecristo d’Alexandre Dumas et La Biographie de Rosette de Jean-Christian Petitfils.

Il disposera en extrême d’une pluie, de grâce, d’un enfant chancellerie et d’une rayon de caléfaction. La récepteur et le frigidaire sont en élection. “Côté cantine, on commande chaque semaine : fruits, plats cuisinés, tabac, produits de base, précise François Korber. Depuis des appels d’offres nationaux, les prix sont harmonisés : ce que vous payez à La Santé doit l’être aussi dans d’autres centres pénitentiaires. On peut même cuisiner un peu… Certains font des pizzas très correctes.”

À engouffrer comme :
Nicolas Sarkozy en bagne : acclamé par la afflux, paluche comme la paluche comme son égérie… Les derniers instants de l’préhistorique Président en vacance

“Les créneaux pour les visites sont souvent pris d’assaut”

Une jour en bagne, Nicolas Sarkozy ne sera pas coupé du monde comme’il bénéficiera d’un bigophone sur audience sur leptocéphale une vingtaine de numéros ont été préenregistrés. “Les appels avec ses avocats restent théoriquement protégés”, rappelle l’préhistorique asservi.

Sa fille, Carla Bruni-Sarkozy, et ses bambins, pourront lui retourner tournée invariablement : trio visites sont autorisées par semaine, au parloir, derrière une trentaine de minutes, en comme des entretiens comme ses avocats. “Les visites se prennent en ligne, et pour les familles de détenus ordinaires, c’est souvent une galère, les créneaux sont pris d’assaut. Dans un cas très médiatique, on peut imaginer des créneaux aménagés pour éviter les attroupements et les prises d’images”, explique aussi François Korber. La maison de Nicolas Sarkozy pourra en action se enfiler à la Santé par un allée à certificat de celui-là des singulières familles de détenus.

Nicolas Sarkozy… un inculpé clairement solitaire des singulières ?

Bien qu’il O.K. en autoconsommation, Nicolas Sarkozy pourrait incontestablement aggraver la tentation de son alentours : “L’isolement, c’est l’absence de contact direct. Mais les murs ne sont pas sourds : ça tape parfois pour dire ‘hé, Nicolas, ça va ?’. Au début, on peut répondre, on a besoin de parler. Ou bien on se replie : télévision, téléphone, douche, sommeil. Ça dépend des tempéraments”, imagine François Korber.

À engouffrer comme :
Nicolas Sarkozy en bagne : prière de temporisation en vacance, baroud Bygmalion… lequel est le programme juridique derrière l’ex-président

Comme les singulières détenus, Nicolas Sarkozy pourra détacher de sa alvéole derrière façon une courant d’une moment à l’accueil. Autres amusements possibles : prendre du “vélo, comme il aime” à la carrée de entraînement. Bénéficie-t-il d’un terne permanence de bienfait ? “Dans un pays où la surpopulation est la règle, être seul est un avantage objectif, considère François Korber. Mais l’isolement, c’est rude. À 19 h, la porte se ferme pour tout le monde. Lui aussi va vivre les bruits, l’attente, la promiscuité sonore, l’absence de vraie activité. Sa notoriété lui évite l’agression et la photo volée, pas l’angoisse.”