Après une époque cauchemardesque en D1, Le Confiscation La Mygale repart cette époque en même temps que l’convoitise de se améliorer purement.
Au émerger d’une époque navrant en D1, transcrite par cinq points malheureusement glanés en concours, 85 buts encaissés, et une impression de tube incarnat abrupt à ingérer, Le Confiscation La Mygale a élégant de ordonner sur des bases saines. Loin des désillusions, le canne veut croiser ce qui faisait sa contraint : la convivialité, l’mentalité d’doté et la flamme du montgolfière distendu.
Pour ceci, les Orange ont confié les rênes de l’doté à Jérôme Thomas. “La prise de fonction s’est très bien passée. L’accueil a été nickel, les dirigeants sont investis et on s’est mis d’accord sur les grandes lignes d’un projet de reconstruction. On repart de zéro, sans pression, mais avec une idée claire : retrouver Le Séquestre d’antan, celui où on prenait du plaisir à jouer ensemble.”
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Le nouveau régir a trouvé sur assis un vulgaire centre de probes, des jeunes U19, seulement itou des vieux revenus par affection au canne. “J’ai discuté avec chacun, et très vite, tout le monde a adhéré. Les séances se sont mises en place, d’autres joueurs sont arrivés et aujourd’hui, on tourne à 22 présents à chaque entraînement. C’est un vrai plaisir de voir cette motivation.”
Des moments conviviaux
Et la cinématique se ressent déjà sur le place. Trois amusements amicaux, triade victoires, et un primitif épreuve toléré à Lautrec tarabiscoté de humeur. “On partait à 13, on est mené 1-4, puis un joueur arrive, ça redonne du moral à tout le monde. On finit à 4-4, et on aurait même pu gagner. C’était une victoire mentale.”
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Malgré certains coups et les contraintes du dimanche, le brigade appendice coalescent. “On est une équipe un peu diesel, mais ça bosse et personne ne lâche.” Au-delà des résultats, c’est un mentalité que Le Confiscation retrouve. “On veut restructurer le club sur tous les plans : sportif, organisationnel, humain. Les joueurs voient des choses qu’ils n’avaient pas vues depuis longtemps, comme des moments conviviaux.”
Le mot d’cadence est cohérent : ne pas torréfier les étapes. “On se donne deux ou trois ans pour reconstruire un Séquestre solide et uni.” Après la typhon, La Mygale tisse à rafraîchi sa capote, lentement seulement complètement. Dans le Tarn, on le sait, Le Confiscation retrouve assidûment son fil.