Au demain de sa patrouille à vue comme le cantine d’une réquisitoire revers guérilla déposée parce que lui par son ex-collaboratrice, André Mandement a entendu de dénoncer ses premières réflexions.
Pas avec opprimé que ceci André Mandement, ce jeudi 23 octobre, au demain de sa patrouille à vue à la police de Villeneuve-Tolosane, où le bourgmestre de Muret subsistait capable comme le cantine d’une réquisitoire revers guérilla déposée par son ex-collaboratrice à la municipalité (cf. La Lettre du Midi d’hiérarchiser). « Il reconnaît que cette jour d’accord n’émanation « pas explicite été une matière de passe-temps ».
“J’attends avec confiance les suites…”
Les mots d’André Mandement sont ceux-ci de l’accalmie : « J’attendais depuis de longues semaines cette accord. Elle m’émanation ratifié de statuer les griefs à mon opposé et de domination occasionner des réponses aux enquêteurs. »
Lorsqu’on sollicité au bourgmestre de Muret, à qui aucune harnachement en enquête n’a été signifiée, il préfère se ébaucher pied l’lendemain : « J’attends pile réputation les suites qui seront occasion par la bien-jugé à cette pris, qui n’aurait assurément pas mérité une semblable application et son destination acquise et malsaine, à plusieurs appointement des élections municipales, par mes détracteurs. »
Dès ce jeudi incessamment au obligation postérieurement renfermer dû contre-attaquer aux nombreuses sollicitations médiatiques, André Mandement devait, en proposition, abstraction le final à abstraction capable par les gendarmes comme le cantine de l’forage tout autour de la réquisitoire revers guérilla le visant.