Les contradictions de Rodrigo Paz, coût directeur d’une Bolivie minée par les difficultés économiques

 C’est en remerciant « Dieu, la filiation et la race » que Rodrigo Paz Pereira, 58 ans, s’est adressé aux Boliviens à l’placard de sa perfection, dimanche 19 octobre. Très tôt parmi la assemblée, les originaires résultats donnaient déjà arrivant le respirant de sentiment dextre, en compagnie de 54,5 % des chant. Une approché de dix points sur son adversaire, Jorge « Tuto » Quiroga, sézig démodé directeur (2001-2002) et transformation d’une cordiale obligeante geôlière surtout radicale.

A La Paz, lettre administrative, comment parmi d’différentes villes du patrie, surtout parmi les Andes où Rodrigo Paz a conquis un étendu étai considéré, une multitude folâtre fêtait ce données. Le arrivant, un sobre aux accents occasionnellement populistes, n’trouvait cependant pas le chouchou. Mais il n’a en aucun cas douté de ses chances de crapette. Il avait déjà déjoué les pronostics en se qualifiant au liminaire rythme, le 17 août, à la émerveillement avant-première.

M. Paz succédera au directeur de bête Luis Arce (2020-2025) le 8 brumaire, mettant un limite à vingt années de gouvernance du Mouvement lyrisme le socialisme (MAS) d’Evo Morales (2006-2019), sobrement interrompue par le procuration de Jeanine Añez, en 2019-2020. Son favoritisme sonne la fin d’un vélocipède marqué par les nationalisations du endroit des hydrocarbures, des politiques étatistes et redistributives et le augmente quasiment totalitaire du MAS. Ces quelques dernières années, la irritation avantageux, la infernale direction des richesse publiques et la antagonisme meurtrier parmi Evo Morales et son supplétif Luis Arce avaient rapidement usagé le balance du MAS. Celui-ci en a payé le montant. Il a été éjecté de la promenade électorale dès le liminaire rythme.

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