Les précisions de Pascal Bugis sur le lien

> Sur la données banquière. L’élu dénonce des chiffres donnés hormis background. “Les impôts locaux, par exemple. On collectait, en 2019, 647 euros par habitant. Aujourd’hui, on en collecte 710. Donc oui, cela a augmenté. Mais en 2019, nous étions supérieurs à la strate (les villes de même taille, ndlr). On collectait 647 alors que les villes de même strate collectaient 641 en moyenne. Et là, on est à 710 € par habitant, alors que les villes de même strate sont à 793.” Une parallèle qui lui “semble absolument indispensable, parce qu’elle démontre que les évolutions sont les mêmes pour toutes les villes de 20 000 à 50 000 habitants et qu’elles sont de moindre mal pour ce qui concerne la ville de Castres.”

> Sur la tracas de l’dette. Qui s’élève tout autour de 80 millions aujourd’hui, il rappelle qu’il a “repris la ville en 2001 avec 91 millions d’euros de dette !” Même truc en ce qui concerne la amplification des épreuves de narcissique : le prévôt s’interroge. “Pourquoi vous ne comparez pas ? Pourquoi vous ne dites pas que tout le monde est dans la même situation ? Pourquoi vous dites qu’à Castres, on est particulièrement mauvais ? Pourquoi vous ne dites pas que tout le monde a connu ces difficultés ? Quand on revalorise le point d’indice des fonctionnaires territoriaux de 5 % d’un budget à l’autre, on comprend que ça fait remonter les charges de personnel. Ce n’est pas la peine de le mettre dans le rapport de la Chambre régionale des comptes comme si c’était le rouge au front des élus. C’est l’État qui nous l’impose.”

> Sur les accusations. De “risques de conflits d’intérêts”, d’irrégularités parmi la pied-de-biche évidente ou plus de “politique immobilière sans stratégie. L’élu répond dans le détail sur le site internet de la Chambre Régionale des comptes, dont voici l’adresse : ccomptes.fr/fr/périodiques/commune-de-castres-tarn-5