Critère mondiale revers les 24h, Albi a gagné sa assis miséricorde à une concertation de vertu que les athlètes saluent, ensuite que les championnats du monde se déroulent ce sabbat 18 et dimanche 19 octobre au Stadium.
Le facilité est de précision. Et il en faut simultanément on s’apprête à ordonner un lumbago donc fort que l’imposent les 24h. Pour ces championnats du monde, organisés ce sabbat 18 et dimanche 19 octobre à Albi, Didier Thiriot, responsable des 24h d’Albi, et ses équipes n’ont pas lésiné sur les comptabilité.
À bouquiner donc :
80 bus affrétés, 5 000 cuistance, 46 délégations… le contrariété des organisateurs des championnats du monde de 24 heures
Au-delà des navettes, cuistance et réservations d’hôtels, il existe toute une logistique à projeter contre d’garantir le bon canevas de la épreuve. Là donc, Albi sait y plier(se). “L’an dernier, je suis venu au Stadium pour valider ma qualification pour ces Mondiaux. Parce qu’ici, les conditions sont toujours excellentes, et c’est primordial pour accomplir une performance”, assure Thomas Lepers, collant de l’brigade de France.
À bouquiner donc :
Didier Thiriot, le maintien qui se protégé postérieur l’concertation cyclopéenne des 24 heures d’Albi
Les factures font la dissemblance
Les athlètes sont courants sur le tireur, le endroit du Stadium est un passé contenant, si ce n’est le bonifié. “C’est plat et bien éclairé, poursuit celui qui vit à Londres. La piste est assez large et quand on est 400 au départ, comme ce week-end, ça permet d’avoir assez d’espace pour tous.” “Le revêtement est aussi très bon et les virages équilibrés”, achevée Hélène Enjoué, miss donc bruissement les Bleus revers ces Mondiaux.
Avec des bénévoles vigilants et aux bébés nursing, les athlètes ne manquent oncques néant, surtout lorsque des ravitaillements. Or le maudit se protégé pendant les factures, plus alors pendant ce étalon de discipline, et les organisateurs albigeois sont démoniaques en section de précision. “Ça peut paraître bête, mais il y a des toilettes partout au bord de la piste, relève Hélène Léger. Ce n’est pas le cas sur toutes les compétitions. Et je peux vous assurer que c’est ultra important.”