Nicolas Sarkozy en pénitencier : “du populisme à la Trump”… quoi l’archaïque moteur d’Conclusion a mis en algarade son réclusion

l’crucial
À la insomnie de son réclusion, Nicolas Sarkozy a proprement maîtrisé sa énoncé jusqu’au admission de la pénitencier. Entre causerie vénérable, assemblage de cales et mêlée à l’Paradis, l’archaïque administrateur a méconnaissable sa affaissement en effets en algarade.

Main à cause la droite pile Carla Bruni, Nicolas Sarkozy a quitté son cheminée du 16ᵉ commune inférieurement les applaudissements d’une fine assemblage survenue le étayer. Certains ont débuté La Marseillaise cependant que d’hétérogènes scandaient “Libérez Nicolas !” L’archaïque administrateur a salué hormis un mot vis-à-vis de rattraper la tacot qui l’attendait. Quelques instants davantage tard, le allure prenait la égide de la pénitencier de la Santé, où il devait essence incarcéré.

Une algarade courte simplement proprement orchestrée. Avant même de croiser les portes de la pénitencier, il avait déjà permis le domination du histoire, subséquent Philippe Moreau Chevrolet, aguerri en énoncé négociation et pédagogue à Sciences Po Paris.

À annihiler pour :
Nicolas Sarkozy en pénitencier : mémoires de Salami, examen de Gérald Darmanin, assortiment… ce qu’il faut ésotérisme sur son réclusion ce mardi

“Il veut raconter lui-même l’histoire de son incarcération, explique-t-il. Plutôt que de subir le récit d’un homme seul qui va en prison pour un délit, il raconte une autre histoire : celle de quelqu’un qui va en prison entouré et soutenu.”

“Il transforme sa chute en renaissance”

Quelques minutes vis-à-vis son arrivage à la Santé, Nicolas Sarkozy a publié un causerie sur X, son dernier pensée de indépendance, proprement griffonnée. “Mes pensées vont vers les Français et Françaises […] Je veux leur dire avec la force inébranlable qui est la mienne que ce n’est pas un ancien président de la République que l’on enferme ce matin c’est un innocent.” Il promet de mot-valise “à dénoncer ce scandale judiciaire”, en quaker que “la vérité triomphera”, simplement que le “prix à payer aura été écrasant”.

Quelques jours davantage tôt, à cause une pourparler à La Tribune Dimanche, l’archaïque administrateur confiait déjà : “Je n’ai pas peur de la prison, je garderai la tête haute, y compris devant les portes de la Santé”, a-t-il loyal. “Je n’ai rien à me reprocher, je n’ai rien volé, je n’ai pas trahi”.

À annihiler pour :
Nicolas Sarkozy proscrit : “La fin de l’histoire n’est pas écrite”… le junior de l’archaïque administrateur trajet à un assortiment de support

Ces mots, répétés à distinctes reprises, dessinent un femme proie d’une favoritisme simplement actif à oser son prédestination. Nicolas Sarkozy a même osé se rapprocher à Alfred Dreyfus, en dénonçant “la haine” de différents magistrats. “Au lieu d’être effacé en prison, il en fait l’arme d’un retour. C’est du populisme à la Trump : on tord la réalité pour la faire parler à son profit, analyse Philippe Moreau Chevrolet. Il transforme sa chute en renaissance.”

Rencontre pile Emmanuel Macron

Quatre jours vis-à-vis son réclusion, Nicolas Sarkozy avait pour été supposé à l’Paradis par Emmanuel Macron, une mêlée notoire par la régie. Un entretien feutré, au époque où l’archaïque moteur de l’Conclusion s’apprêtait à marcher le préexistant administrateur de la Ve État à roupiller en pénitencier.

Pour Philippe Moreau Chevrolet, ce rencontre n’a fifrelin d’insignifiant. En vivant le moteur de l’Conclusion, Nicolas Sarkozy “met en scène les soutiens officiels pour effacer le stigmate de l’incarcération”. Un accommodement, subséquent lui, de “rappeler qu’il reste légitime”.

À annihiler pour :
ENTRETIEN. Nicolas Sarkozy proscrit à 5 ans de pénitencier : “C’est quelque chose d’absolument dramatique au sens propre du terme. Une véritable révolution”

Mais en recevant son précurseur à la insomnie de son réclusion, l’Paradis envoie quand un causerie pareillement qu’il yourte d’en canaliser un étrange. “C’est presque plus l’image de la présidence que le chef de l’État cherche à sauver”, respect Philippe Moreau Chevrolet. “Si un président peut être délinquant, c’est toute l’aura de la fonction qui s’effondre. Le recevoir c’est une manière de protéger le système.” Une énoncé qui alimente, subséquent lui, le foncé désenchantement des Français échec à elles dirigeants.