“On sera là au prochain tour”, les joueurs de l’Avenir Castriote vivent une circonstance rare en Coupe de France

Castries qui évolue au 11e classe tricolore accueille un prétendant de Bâtiment 1 qui vient de l’changé frontière de la pays tandis du 6e variation de la appui.

Au rebord de la Garonne, parmi Agen et Montauban, à l’ligne couchant de la pays Occitanie, se trouve la patrie de Golfech entre le canton du Tarn-et-Garonne. La région est davantage connu moyennant sa prison atomique plus double réacteurs visibles même le nez au compagnie de la armoiries que moyennant son dancing de football. Le FC 2 Rives est originaire d’une complicité parmi Golfech aussi, Goudourville et Auvillar. Si son état-major guidon est amorcé en Bâtiment 1 depuis 14 saisons, elle-même n’a par hasard écho plus qu’un sixième variation en Coupe de France.

De ces considérations géographiques et sportives, les joueurs de l’Avenir Castriote n’en ont que prendre. D’aussi davantage qu’ils n’auront pas à se limoger si ailleurs attendu que cette heurt insigne se déroulera, sabbat sur à eux foin du période Emile-Granier.

“Le meilleur match de notre vie”

Avant de attaquer ce sixième variation de Coupe de France, Maxime Ceresani, l’éducateur de Castries qui trouvait à Rodez moyennant soulager au lithographie au veine, vendredi terminal, ne se penche pas évidemment sur son prétendant qui évolue cinq divisions dessus de son état-major et qui est invaincu depuis le arrivage de la siècle : “On savait qu’on allait devoir affronter une grosse équipe, explique-t-il. Ce sera ce club qu’on ne connaît absolument pas. Ce sera encore un cran supérieur à ce qu’on a connu jusqu’ici.”

De toute confection, depuis que ses protégés ont conquis l’succès de ballotter l’AS Frontignan (R1), totalité le monde à Castries est aux rejetons : “C’est un moment génial à vivre, on apprécie, on le vit parfaitement bien. Il y a un peu de lumière sur le club, sur le travail des dirigeants, poursuit le technicien castriote. La Coupe de France fait rêver, les gens qu’on croise dans la rue nous en parlent, les anciens du club reviennent voir nos matchs.”

Cariste de travail et petit de la région de 6500 habitants, le barreur Romain Bonetto savoure : “On a une équipe composée de beaucoup de Castriotes qui portent les valeurs de courage et de solidarité de la ville, explique le milieu de terrain défensif. Pour nous, c’est un kif, on ne s’attendait pas à être là. On ne réalise pas trop ce qu’on a fait mais on sait que c’est quelque chose de beau. Face à Frontignan, on a vécu le meilleur match de foot de notre vie avec un scénario fou. On se croyait dans le film Les Seigneurs (rires).”

“On va bien kiffer”

Pour aussi, les joueurs de Départemental 3, la 11e part en France, n’ont babiole dépouillé. Menés au résultat par l’ASFAC il y a double semaines, ils ont conquis à polir et à disjoncter une comité de tirs au but : “On sort deux exploits contre une équipe de R3 et une de R1. Dans le contenu, on n’a pas à rougir. Il y a eu un peu de réussite mais on s’est aussi créé beaucoup d’occasions.”

Il est température désormais moyennant les Héraultais qui s’entraînent double coup par semaine de mentir à débours en se donnant les rentrée de gravir un variation additionnel : “On va rester fidèle à nos principes, on est arrivé jusque-là en jouant notre jeu, on ne va pas changer”, instruit Maxime Ceresani

Et Romain Bonetto de parvenir : “On va vivre une belle fête, il y aura du monde au stade, on va se préparer à fond. On va bien kiffer, il faudra penser à en profiter. On sera là au prochain tour parce qu’on n’a rien à perdre et qu’on est ambitieux.”