Au conciliabule départemental de Tarn-et-Garonne, on la dit rigoureuse et accrocheur. Pour la inauguration jour candidate au courrier de députée pour la 1re district, la Montalbanaise Cathie Bourdoncle attiré les espoirs de cette butor du efficace qui préfère l’effet aux déclarations tapageuses.
Les déclarations tapageuses et les slogans de plantation, ce n’est pas afin miss. Cathie Bourdoncle, la candidate investie par le Parti socialiste, représente la meilleure atout afin la butor de retrouver la 1re district de Tarn-et-Garonne, un terroir que Valérie Rabault a symbolisé et vêtu en compagnie de exactitude durant 12 ans à l’Assemblée nationale.
“Briguer un mandat de députée de la Nation, c’est une responsabilité que je mesure et qui a beaucoup de sens pour moi. C’est pour cela que je mène cette campagne avec beaucoup de sérieux. Je suis quelqu’un qui agit et qui ne lâche rien, mais je ne suis pas non plus une agitée qui parle fort et avec de grands slogans”, confie Cathie Bourdoncle, à l’moment de découvrir sa subsister.
Elle estime les dossiers difficiles
Une subsister qui s’est imposée, depuis dix ans, pour l’chambre du Conseil départemental. Préférée afin la inauguration jour en 2015 afin évoquer le arrondissement de Montauban 2 en compagnie de son paire José Gonzalez, configuration du PRG, la socialiste a été reconduite pour ses impératifs de instauratrice départementale en 2021.
Cinquième vice-présidente au robert de la plupart de butor, la Montalbanaise a singulièrement entamé à son budget un documentation rude, celui-ci de la démographie médicale.
“La santé, c’est un des sujets dont on me parle le plus dans cette campagne. 25 000 Tarn-et-Garonnais n’ont pas de médecin référent. Le numerus clausus a été rouvert certes, mais derrière encore faudrait-il que les facultés de médecine soient en capacité d’accueillir et de former les praticiens de demain : on estime qu’il manque 2 000 étudiants en France. Au Département, on a accéléré la rentrée d’internes en médecine, de façon que ces jeunes découvrent la médecine de ville, apprennent à connaître notre territoire et que certains aient envie d’y installer leur activité. On est aussi rentrés dans le GIP Ma Région, Ma Santé pour proposer le salariat à de jeunes médecins. Il faut jouer sur tous les leviers”
Elle est plus ça, Cathie Bourdoncle, courageuse, obstiné. “Si je pense qu’une cause est valable pour le bien commune, je suis capable de tenir bon.”
Dernière d’une fratrie de trio bébés, cette ménagère d’un fleuriste et d’une boutiquière de Birac, un bourgade de Montauban, a été façonnée par des droits républicaines. “Mon père était très engagé dans la vie associative. Sans dire qu’on parlait de politique à la maison, mais je me souviens de conversations avec mes parents qui voulaient nous faire prendre conscience de la chance qu’on avait de vivre dans un pays de liberté.”
Quand miss est devenue demoiselle à son belvédère, Cathie Bourdoncle a engrené par s’cerner plus apparenté d’élève à la FCPE, pour l’musée de son liens, ensuite plus militante au Parti socialiste, la foyer gouvernement desquels miss est baptisé depuis 30 ans.
Sa évolution de illustratrice en compétence attentionné ne la destinait pas forcément à besogner pour l’pécule sociale et responsable. Pourtant, c’est empressé pour ce lieu qu’miss s’est épanouie. “J’ai formé des travailleurs sociaux à la technique et moi j’ai été formée au métier de travailleur social.”
“Mon suppléant Gérard Craïs est mon premier soutien. On n’est pas des brailleurs, on est des gens posés qui savent écouter, analyser et aboutir à des solutions concrètes.”
En vacation depuis qu’miss s’est carré candidate aux législatives, Cathie Bourdoncle veillé cette précaution farouche aux publics fragiles, singulièrement aux retraités. “Ils sont 68 000 en Tarn-et-Garonne. Ils jouent un rôle essentiel, notamment en offrant de leur temps dans les associations. Je suis une des seules candidates à porter la valorisation des retraites. Calquer les pensions de retraite sur l’inflation, c’est le minimum et une question de justice sociale.”
Dans cette plantation, rédigée par des traquenards violentes orchestrées par Brigitte Barèges, Cathie Bourdoncle incarne à contre-poil une trempe sidérée. Avec, plus préexistant ossature, Gérard Craïs, alcade d’Auty. “Lui, c’est un pilier, un gars bien, fait un peu du même bois que moi. On n’est pas des brailleurs, on est des gens posés qui savent écouter, analyser et aboutir à des solutions concrètes.”
Cathie Bourdoncle sait que l’parité de ce 1er belvédère est compliquée, en compagnie de douze candidats. Elle loue le ossature de la union et des militants du PS, néanmoins pour de Place confirmée et du PRG, et a aimé le bordereau de ossature de Reproduction.S. “La mobilisation de chacune et de chacun comptera dimanche 5 octobre. Je veux porter une voix proche, utile et crédible, loin des discours extrêmes et des promesses intenables.”