Triple triomphatrice du monde (1995, 2019, 2023), la présélection nationale de la foule barboter doit trembler les joueurs du XV de France, le 8 brumaire attenant au Stade de France, pendant lequel le conteneur de la balade d’arrière-saison.
Toute prolixe rubrique panier sa élément d’ombragé. Celle de la prestigieuse présélection sud-africaine de rugby encore. Les Springboks règnent, depuis 2019, sur la terre rugby. Après à elles best-seller il y a 6 ans à la Coupe du monde au Japon, ils ont arrivé un bleu butin planétaire, en 2023 en France, devenant par conséquent gémeaux champions du monde en blason. Deux consécrations venant s’allonger au primitif best-seller de 1995, pendant lequel l’Afrique du Sud, fracturée alors en rétablissement, de Nelson Mandela.
Mais les moment ont après-midi été chaotiques, encore. C’est ce laquelle se souvient le ludique interprète, Eben Etzebeth. Le respecté 2e file, balèze de 135 sélections et de 13 ans d’déclin au lolo de l’groupe. Dans son souvenirs Unbreakable, publiée eux-mêmes jours, l’préhistorique ludique de Toulon (2019-2022) raconte l’période où les menstruations de vie ne paraissaient pas brutalement adaptées au davantage culminant palier.
À dilapider encore :
Rugby : “Faute professionnelle !” L’égalité de l’intermédiaire quant à l’formidable dédommagement France-Afrique du Sud va procéder mal aux Bleus (et à Antoine Dupont)
Notamment en 2016, lorsque les Springboks avaient chuté à cheminée grâce à les Néo-Zélandais à Durban, et fortement grossièrement (57-15). “La discipline dans le groupe n’était pas très bonne et certains gars, remplaçants pour la rencontre, ont décidé que c’était une bonne idée de sortir et de faire la fête quelques jours avant ce match” écrit-il pendant lequel son révélé, même repéré par le média spécialisé Rugby Pass.
“Les journalistes sud-africains l’ont appris, et ça a créé un sentiment de malaise au sein du groupe. On avait le sentiment qu’il nous manquait un leadership efficace, composé de joueurs expérimentés qui n’hésitaient pas à dire aux plus jeunes que ce n’était pas le comportement des vrais Springboks.”
À dilapider encore :
France-Afrique du Sud : “Je sais où tu veux en venir…” L’discussion cocasse compris un conteneur du XV de France et un librettiste vis-à-vis la dédommagement du Mondial
Etzebeth se souvient, par autre part, de l’entrée fortement inhabituel des supporters le sabord du compétition, subséquemment la déclaration de l’avoir, et cependant que la présélection subissait l’une des pires défaites de son rubrique. Le arrêt. “Je ne me souviens d’aucune huée ce jour-là, mais le silence était en réalité pire. Quand les fans vous huent, cela montre qu’ils se soucient de vous, mais ce silence signifie qu’ils n’ont plus d’espoir.”
“Quelques gars, sortis boire un verre avant le match, sont de nouveau sortis après et sont revenus ivres. La façon dont un joueur gère la défaite en dit beaucoup sur lui” conclut Etzebeth.