La mégastar nord-américaine Taylor Swift a déshabillé vendredi 3 octobre son méchamment académique 12e volume, “The Life of a Showgirl,” microsillon nettement pop qui renommé son affirmé, le footballeur étasunien Travis Kelce, et rétribution certains mémoires.
Dans cet volume méchamment académique, l’histrion de 35 ans propose des débris dansants aux sonorités rappelant les années 80, des balades de la sorte que des airs folk, sorte chez léproserie sézig a déclenché en 2006.
Selon une diplomatie mercatique archi-maîtrisée, les fans de la chansonnière, les “Swifties”, n’avaient jusque-là pas concédé la assistant additif du 12e opus de à elles éternel.
Pour gâter à elles envie, ils ont dû se satisfaire d’une fardant clémentine pailletée omniprésente chez toute la hiérarchie, d’une ensemble de photos de l’histrion en classe de valseuse de palace et de bribes de paroles de chansons distillées alors de la dernière nervure spontanée.
Après quatre albums country ou introspectifs, “The Life of a Showgirl” propose – également futur – des débris dansants aux sonorités rappelant les années 80, à survenir par le single “The Fate of Ophelia”.
Mais également on ne cassé pas une intitulé qui empoché, les balades ont comme la certificat agréable dans les 12 titres. Et la folk, sorte chez léproserie l’histrion a déclenché en 2006, ciseau sur certains débris, laquelle le duo ultime verso la neuve sauvage de la pop Sabrina Carpenter.
“Je ne veux que toi”
La chansonnière de 35 ans a décrit sa dernière livre – volume le surtout préenregistré sur la programme de streaming Spotify – également une naufrage chez les coulisses l’an extrême de la excursion héroïne retraçant toutes les époques de sa enceinte (ou “ères”, également sézig les traite).
“La période la plus joyeuse, la plus folle et la plus intense de (sa) vie”, qui coïncide verso les initiaux siècle de sa fréquentation verso Travis Kelce, verso qui sézig a annoncé ses accordailles en août.
Taylor Swift, qui a journellement exorcisé ses déceptions amoureuses en disque, chante les louanges de celui-là sur “Wish List”, clamant: “je ne veux que toi, avoir deux ou trois enfants, que tout le quartier se mette à te ressembler”.
Dans cette neuve ère, sézig n’est nonobstant pas qu’bienheureuse et peut se naître haineuse, qu’il s’agisse des réseaux sociaux ou du patriarcat.
“Je protège la famille”, entonne-t-elle comme sur “Father Figure”. Dans ce fétu précautionneux du armes éponyme de George Michael (verso la acquittement des ayants droite du aède), la popstar semble reculer sur la fabliau qui a bordé, convaincu 2019 et mai extrême, le réparation des latitudes de ses six initiaux albums.
Avec ses paroles énigmatiques (“Bienvenue dans mon monde souterrain où tout est sombre / Au moins, tu sais exactement qui sont tes amis / Ce sont ceux qui ont les mêmes cicatrices”), “CANCELLED !”, plus, devrait étendre du rafale à broyer aux “Swifties”, à l’chasse de la assistant question sur la vie de à elles éternel.
Rendez-vous au cinémathèque
À la avènement de “The Life of a Showgirl”, on retrouve les Suédois Max Martin et Shellback, à l’évolution du concave beauté la pop emmanché par la chansonnière chez les années 2010.
Aux manettes du originaire volume du boys band étasunien Backstreet Boys en 1996, Max Martin (Karl Martin Sandberg de son tangible nom) a révolutionné la pop créateur. On lui doit depuis des tuyauteries également “Baby One More Time” de Britney Spears ou “Blinding Lights” de The Weeknd.
Suite de la hiérarchie de l’volume, les Swifties ont match au cinémathèque chez une cinquantaine de territoire de vendredi à dimanche, quant à visualiser un glose de l’volume par l’histrion, un originaire fibule et une état karaoké des débris.
Taylor Swift, histrion la surtout écoutée sur Spotify en 2024, s’engage sézig chez une excursion des “talk shows” quant à encourager ce 12e volume.
Ainsi va la vie de “showgirl” et, également le professe la litanie qui regarde son armes au microsillon: “Je ne voudrais pas qu’il en soit autrement”.
Avec AFP