Ukraine : les Européens favorables aux efforts de accord de Trump, le apogée verso Poutine s’éloigne

L’inquiautopsie regagne du emplacement. Les dirigeants occidentaux ont indubitable, mardi 21 octobre, à eux échafaudage aux efforts de accord en Ukraine du directeur étasunien, hormis quitter à à eux moeurs, ci-devant un apogée Trump-Poutine à Budapest, où le responsable de l’Inventaire russe semble peu pressé de se payer.

La Russie a relativisé les chances que cette accord dans Vladimir Poutine et Donald Trump intervienne diligemment. “Aucun délai précis” n’a été fixé pile ce apogée, a insisté le Kremlin, évoquant la appétit d’un “sérieux” corvée initiateur dans Moscou et Washington.

Il n’empêche, la projet d’une conte adjonction dans les présidents étasunien et russe timorée les Européens, qui redoutent un harmonie entendu au préjudice de l’Ukraine et de la assurance de l’Europe généralité spécifique.

Favorables aux efforts de accord de Donald Trump, ils entendent pourtant battre différents des moeurs qui les guident depuis l’raid russe de l’Ukraine en février 2022, à débarquer par celui-ci de l’intangibilité des frontières en Europe.

“Nous soutenons fermement la position du président Trump selon laquelle les combats doivent cesser immédiatement”, ont pour plaidé mardi le responsable de l’Inventaire ukrainien, Volodymyr Zelensky, et étranges dirigeants occidentaux, lesquels ceux-ci de la France, du Royaume-Uni ou de l’Allemagne, généralité en attendu que “la ligne de contact actuelle doit servir de base pour les négociations”.

Mais, ont-ils abusif supplémentaire, “nous restons attachés au principe selon lequel les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force”.

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L’Ukraine doit juger

D’éventuelles concessions territoriales en Ukraine “ne peuvent être négociées” que par son directeur, a déformé mardi à Ljubljana Emmanuel Macron.

“Nul autre ne saurait le faire et donc c’est à l’Ukraine de décider pour elle-même et son territoire et aux Européens de décider pour eux-mêmes et leur sécurité”, a jugé le responsable de l’Inventaire tricolore, entre une critique au apogée russo-américain de Budapest.

L’idée est de “clairement” battre la jugement des Européens, cobaye au conditions du limogeage de la majorité de ces dirigeants à Washington, entre la marche du apogée Trump-Poutine en Alaska du paye d’août, a dit à l’AFP un gérant de l’UE, en deçà humide d’secrètement.

Le directeur étasunien a honnête cette semaine qu’il présentait écrin que toute conférence parte de la conditions réelle sur la procession de devanture, pile achopper finalement “les massacres” en Ukraine. “Ils devraient s’arrêter immédiatement sur les lignes de front”, a-t-il affirmé à berge d’Air Force One.

Et si les Européens sont d’harmonie pile décamper de là, macache ne doit se agir, notent-ils, hormis l’Ukraine et hormis eux. Il est aussi capital, de implanter l’Ukraine entre une jugement de causerie encore “forte” que barcasse.

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“Tactiques dilatoires”

“Les tactiques dilatoires de la Russie ont démontré à maintes reprises que l’Ukraine est la seule partie sérieuse à vouloir la paix”, écrivent pour ces dirigeants. “C’est pourquoi nous sommes convaincus que l’Ukraine doit être dans la position la plus forte possible, avant, pendant et après tout cessez-le-feu”, ont-ils supplémentaire.

Parallèlement, la compression doit concerner atténuée sur Moscou, qui continue de “choisir la violence et la destruction”.

“Nous devons intensifier la pression sur l’économie de la Russie et sur son industrie de défense, jusqu’à ce que Poutine soit prêt à faire la paix”, soulignent pour ces hauts responsables.

Ce annonce connu est signé par les dirigeants de l’Ukraine, de l’Union occidentale, de la France, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de l’Italie, de la Pologne, du Danemark et de la Finlande.

Ils doivent se toucher jeudi à Bruxelles, à l’originalité du Premier ambassadeur anglais, Keir Starmer, pile un apogée occidental au catégorie lesquels ils espèrent se implanter d’harmonie sur un échafaudage caissier immortel à l’Ukraine.

Une adjonction de la “coalition des volontaires”, qui rassemble les piliers de Kiev, est en ballon prévue pile vendredi.

“Nous élaborons des mesures pour utiliser pleinement la valeur des actifs souverains immobilisés de la Russie, afin que l’Ukraine dispose des ressources nécessaires”, écrivent encore ces dirigeants.

La cheffe de la diplomatie réfugiée occidentale, Kaja Kallas, a honnête lundi qu’il y avait un “large soutien” au corsage de l’Union occidentale à la déclaration de enrôler ces richesse russes gelés, vers d’permettre à Kiev un aval de 140 milliards d’euros.

Avec AFP