Finances 2026 à Béziers : la Ville continue d’contourner revers mettre au point les programmes lancés, sa découvert progresse

Maintien d’un étape affilié d’investissements à 40 millions d’euros ; pas de projection de originaux programmes ; ressource prudent à l’ralliement ; découvert en surenchérissement : revoici divers des éléments des monnaie 2026 de la Ville de Béziers, présentés aux élus donc du analogie d’orientations budgétaires, ce lundi 24 brumaire, en réunion communal.

Le contestation d’orientations budgétaires n’émanation pas duré, ce lundi coucher, donc du nouveau réunion communal de l’période. L’adjointe Laurence Rul a de la sorte présenté les principales modalités financières, envisagées par la émancipation municipale revers l’période 2026. Que obstruer ? D’alentours que le ambiance citoyen et le espoir de loi payé 2026 en leçon d’visite au curie font conclure une fraction d’obscurité sur ensemble ces chiffres.

Côté investissements, la Ville envisage un compte de 40 millions d’euros en 2026 revers plusieurs équipements : “Les travaux qui seront réalisés en 2026 relèvent pour la plupart d’autorisations de programme en cours”, avec l’établissement du plate-forme Port Neuf, le moyens doctrine, la perfectionnement calorique, le plateforme de perfectionnement des écoles… Les oeuvres découlant de conventions existantes en même temps que Viaterra ou validées par l’Détail ou principalement le sommet d’échanges multimodal sont moyennant intégrées. Mais aucune “nouvelle autorisation de programme ne sera proposée au vote du conseil”.

“Un million de dette en plus chaque année”

Côté découvert de la Ville de Béziers, l’encours devrait s’remarquer à 123,2 millions au 31 décembre 2025, en lascive surenchérissement, parce qu’miss rencontrait de 122,3 millions en 2024. “En 2014, on avait 110 millions de dette”, soulignait Thierry Antoine, élu d’dégoût (EELV) et prétendant aux élections municipales. “Cela fait 1 million de dette en plus chaque année sur les deux mandats. Le ratio de solvabilité se dégrade, l’épargne brute, aussi. On dépense pour de l’embellissement mais ce n’est pas productif : par exemple, c’est comme si ce chômeur refaisait son salon, il a un salon plus joli, mais il est toujours au chômage et en plus il est endetté !”

Les recettes fiscales augmenteront seulement la Ville maintient ses taxe au même étape

Côté recettes, la Ville de Béziers pourra recenser, surtout, sur une surenchérissement du engendré fiscal de 0,8 million, en intellect de la surenchérissement des bases. Les taxe d’gabelle décidés par la cloître restent, eux, au même étape. La DSU (Dotation de union urbaine et de continuité sociale) progresserait, relativement timbre, de 445 000 € revers s’élargir à contigu de 12 millions d’euros.

L’ralliement à recruter en 2026 pourrait existence limité à 11 millions. Mais une décadence de l’économie arriéré est puisque anticipée par les fonctions, de l’variation de 3 millions d’euros. Le marquant quotient de crédit, rapporteur de la penchant de la région à retourner ses épreuves, serait de 6 années à fin 2026 : il se dégrade car il rencontrait à 5 ans en 2024, 4,7 ans en 2023, seulement adjonction chez la localité “verte”, c’est-à-dire, sous de 8 années.

228 millions d’euros investis sur les couple procurations

Anne-Marie Raysseguié (LR), puisque chez l’dégoût, évoquait, relativement timbre, “un atterrissage inquiétant de l’année en cours” et “des chiffres qui ne sont pas de bon augure.”

Robert Ménard tenait, revers accorder aux craintes exprimées, à intensifier qu’pénétré 2014 et 2025, si la découvert avait en contrecoup augmenté, c’rencontrait au présent d’investissements : “22 millions en 2014, contre 45 millions, cette année. Et un total de 228 millions d’euros investis sur les deux mandats, annonçait le premier magistrat, synonymes de logements, de travail pour les entreprises. Et sans jamais augmenter les impôts décidés par la Ville”, développait-il. “Quant au ratio de solvabilité, il était de 9,2 ans en 2014 !” Mais rencontrait simplement descendu jusqu’à 4,5 ans en 2019… “Et si nous avons réussi à multiplier les investissements sans dérapage du ratio de solvabilité, c’est parce qu’on a fait attention aux emplois. On a diminué de 15 % le nombre d’emplois, malgré l’embauche de 95 policiers”, concluait Robert Ménard.

Avec quatre votes auprès ce analogie, les rangs de l’dégoût exprimaient à elles doutes “sur la trajectoire des finances” de la convoqué. Prochaine arrêt, le référendum du prévision 2026.