Laurent Lamolinairie et Lamo Racing Car : de Montech aux circuits occidentaux, une élévation resplendissante pour l’auto de exercice

l’édifiant
À Montauban, pour le parking grand pour la zoïde Albasud, les mécanos rangent les nez de voitures identique d’dissemblables referment un dénoncé sacré. Lamo Racing Car, l’étable artisanale devenue jouet de défi, repousse sa avènement en résolution.

Un grognement sec, entour cruel, s’échappe du néophyte parking d’Albasud. À 39 ans, Laurent Lamolinairie contemple ce spacieux parc de 800 m2 identique d’dissemblables regarderaient une cathédrale. C’est toutefois pour le poli parking domestique de Montech qu’il fonde en 2010 son étable Lamo Racing Car, une constitution artisanale qui aligne puis différents voitures sur les circuits territoriaux. Quatorze ans principalement tard, l’caprice a changé d’escabelle : dix croasser, dix pilotes suivis sur les circuits occidentaux, un hit-parade grandiose identique un transmission et, désormais, un parking patricien élève condamné aux voitures de exercice.

Remise en balance des bolides en conséquence un vacance de parcours.
DDM – Manu Massip

Ici, chaque respire la défi. Les Formule Renault, les F3 et les protos d’invulnérabilité s’alignent identique sur une obstacle de éradication. Le coin dupliqué des stands de paddock, instruction blanches, outils calibrés, suspension inquiet. Une séjour canapé-lit abrite un pasticheur technicien, jale FR 3.5 fronton à un retenue large agité par trio vidéoprojecteurs. Derrière, les ingénieurs surveillent la télémétrie, oreillettes branchées. “C’est là qu’on prépare les courses avec nos pilotes en travaillant les réglages de leur voiture adaptés aux circuits sur lesquels ils vont prochainement courir”, luge Lamolinairie.

Une piété depuis l’jeunesse

Passionné ordonné, il abordé involontairement les obstacles. Même le dangereux infortune de 2021, six paye d’hospitalisation et des séquelles persistantes, n’a pas freiné son presse. S’majorer, écarquiller au élève, diriger ses pilotes sur toute l’Europe, couvrir la caoutchouc joignable aux êtres en conclusion de incapacité rémission au pasticheur… Rien ne l’enchaîné. Son rêve, entour chuchoté : un lunette, les 24 Heures du Mans.

Laurent Lamolinairie est un employeur d’étable qui ne se convenu pas de borné.
DDM – Manu Massip

Son feuilleton commence à 11 ans, pour un kart lequel il ne descendra principalement. Deux titres de gymnaste de France principalement tard, il devient team régenter entour par infortune, en louant une bagnole à un ami. Première moment, rudimentaire panonceau. Puis une constitution, une ramassis, cinq autos… Aujourd’hui dix. Et depuis un couple de ans, l’invulnérabilité prend une fixé graduelle : protos, budgets à 300 000 euros la moment, pneus excepté de somme, pilotes venus du Luxembourg, de Suisse, de Floride ou de Dubaï.

Des mécaniciens spécialisés pour le exercice involontaire suivent les pilotes sur entiers les circuits occidentaux
DDM – Manu Massip

Le hit-parade, déjà lourd, raconte l’élévation : podiums en renversement en Ultimate Cup, titres en TTE, exploits en Proto Norma CN, chemin en Free GT en même temps que une Porsche 991 GT3 Cup. La impalpable étable de Montech est devenue une écriteau tournante silencieuse toutefois redoutée du exercice auto hexagonal. Dans son néophyte parking, Lamolinairie observe ses voitures, ses mécanos, ses pilotes. Il n’en rajoute pas. Il constate. Lamo Racing Car est lancé, lourd pot. Et l’poteau n’a pas aguerri de organiser.