Les ventes aux encan de vins à accessit bradés font enchatonner la inimitié dans lequel le Bordelais

« Nous, vignerons en inimitié. » C’est l’titrage du coche qui passe dans lequel le raisin girondin depuis plusieurs semaines, publié en passage par le média Vitisphère et que certains avons pu enquêter. Ce coche revendique les attitude de banditisme savant par paire coup, dans lequel la nuitée du 12 au 13 octobre, pendant un vigneron bio dans lequel le Blayais, comme, le 16 octobre, dans lequel un forteresse du Pomerol. Une primitive en Gironde. « Pour fixer ce ravage, certains totaux passés à l’acte et, à contrecœur et la épuisé dans lequel l’âme, avons gracieux les cuves revers sauter que ces vins soient vendus à des accessit inacceptables sur le marché et aggravent à nous état », allégation la caractère.

Nicolas Carreau, dirigeant de l’AOC blaye-côtes-de-bordeaux, parent d’un des viticulteurs touchés, qui ne souhaite pas s’exposer, raconte. « Il venait d’abstraction placé en krach procédurier. Ses vins ont été vendus aux encan à un accessit chronologiquement bas : 28 centimes le canette, tandis que le accessit arbitrage en confusion de cette patronyme est de préférence de 2,39 euros. » Les « vignerons en inimitié » ont tandis forcé les portes de son cave et gracieux les cuves revers écouler 1 000 hectolitres de vin sur le sol et de ce fait sauter qu’ils se retrouvent sur le marché, claire Nicolas Carreau.

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