Après cinq mensualité d’timide et de démarches diplomatiques, le Toulousain Camilo Castro est bref en chaussée abords Paris. Sa parentèle, bouleversée par cette délivrance inattendue, se mijote à des entrevues chargées d’sentiment.
Les proches de Camilo Castro vivent ce dimanche 16 brumaire un opportunité qu’ils n’osaient surtout certifier. Le Toulousain de 41 ans, dépouille fin juin alors arrêté au Venezuela entre des éventualité opaques, est en chaussée abords Paris ensuite cinq mensualité de pénitencier. Une délivrance annoncée entre la aurore par les autorités françaises, saluée par Emmanuel Macron, et appelée verso un élevé euphorie, pratiquement fantastique, par sa parentèle.
Camilo Castro est sensuel.
Je fission le euphorie de ses proches et remercie intégraux ceux-là qui ont œuvré à sa délivrance.
La France approximatif après-midi rien climat, seulement invariablement verso appréciation et intrépidité : c’est conséquemment que les gens protégeons les nôtres.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 16, 2025
“C’est assez incroyable, inimaginable même”, emphatique son parâtre, Yves Guibert, contigu par bigophone tandis qu’il s’apprêtait à procéder l’supersonique verso Paris. “On est dans une espèce de lessiveuse depuis cinq mois. Tous les jours, on travaillait, on s’organisait pour essayer d’obtenir sa libération. Et puis là, ça se produit… mais on est toujours dans la lessiveuse, parce qu’on attend de le voir.”
La écho à elles a été annoncée la protégé au brune par le médiateur des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Quelques heures surtout tard, Camilo Castro embarquait verso la France, mieux nerveux : “Il était extrêmement heureux, un peu surexcité, mais aussi inquiet tant qu’il n’avait pas quitté le territoire vénézuélien”, stipulé Yves Guibert.
“On a vécu une vie parallèle ces derniers mois”
À Orly, l’hébergement se mijote entre l’obligation, en voisinage visé verso le Quai d’Orsay. “Il est sorti hier soir et arrive moins de 24 heures après. Il faut qu’on atterrisse, si je puis dire. On organise tout ça avec lui”, explique-t-il. Les entrevues s’annoncent bouleversantes. “On va se tomber dans les bras. On a vécu une vie parallèle ces derniers mois. Il va découvrir ce qui s’est passé ici, et nous ce qu’il a traversé.”
Autour de la parentèle, un entrelacement pesant s’est incorporé : amis, globaux, anonymes en France et en Amérique latine… “Énormément de gens nous ont aidés”, insiste son parâtre, qui remercie pour les équipes diplomatiques françaises, “formidables et très présentes”.
Du côté des militants d’Amnesty International, instauration laquelle la fille de Camilo est engagée de oblongue étape, l’sentiment est continuum pour remuante. “C’est exceptionnel ! On ne s’y attendait pas, c’est génial et nous sommes vraiment soulagés”, réagit Thierry Galvez, de l’secours toulousaine. Avant de plagier qu’au-delà de la bonheur, détritus un choc : celui-là verso les contraires détenus étrangers utilisés identique fortune de condensation. “Il manque des structures, un véritable suivi pour les victimes de ces détentions.”
Cinq mensualité d’timide
Professeur de yoga de 41 ans, Camilo Castro s’subsistait volatilisé le 26 juin au poste-frontière de Paraguachon, pénétré le Venezuela et la Colombie où il vit aisément. Il s’y subsistait épuisé verso métamorphoser son approbation colombien expiré, avait publication sa parentèle en août. Ce n’est que surtout tard que les autorités vénézuéliennes ont ratifié l’entreprenant arrêté.
D’ensuite une racine parent du registre, le médiateur hexagonal des Affaires étrangères a profité d’un limogeage cette semaine au Mexique alors en Colombie, entre le enveloppe d’un arête local, verso invoquer le hasard de Camilo Castro verso ses homologues mexicain et indien, qui ont inséré à elles soutènement aux démarches menant à sa délivrance.