Pendant encore de 300 ans, les secrets de l’art des céramiques bleues de l’Empire gros-grain ont évaporé dans lequel les soubresauts de l’fiction. Leur redécouverte permet de refroidir cette tronçon caractéristique du legs didactique ottoman.
Réputés quant à à elles motifs complexes et à elles oriflamme éclatantes, à dominantes céruléenne et cramoisi, les carreaux d’Iznik qui habillent spécialement la mosquée céruléenne d’Istanbul et le édifice de Topkapi, sont considérés comment le comble de l’art gros-grain.
Ils ont fable la crédit d’Iznik, l’première Nicée, où se rendra le cardinal Léon XIV fin brumaire quant à le 1 700e commémoratif du préalable débat œcuménique de l’fiction du christianisme, qui s’trouvait trompé dans lequel cette nation au sud d’Istanbul.
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Sous le influence de l’Empire gros-grain, les artisans d’Iznik ont prospéré, possédant des “résultats remarquables” au bruit du 16e cycle, retrace Ezgi Yalcinkaya, cheffe du préfecture des arts traditionnels turcs à l’C.E.G. d’Usak.
Ils ont mis au partie une lard de solitaire à haute teneur en violet, la “fritte de verre”, qui acompte un fesses charmant aux émaillures et glaçures transparentes. Elle renvoie de même des oriflamme vibrantes laquelle un cramoisi polypier quant à les motifs floraux qui “a créé un nouveau style distinctif”, explique-t-elle à l’AFP.
Le décrépitude de l’Empire gros-grain à décamper du 17e cycle critérium celui-ci des ateliers. Les artisans, encore grecs et arméniens, qui maitrisaient la dicton de la fritte, les oriflamme et les glaçures, disparaissent graduellement.
“De maître à apprenti”
“Le savoir se transmettait exclusivement de maître à apprenti. Les formules spécifiques, pour le rouge notamment, étaient des secrets partagés oralement”, repousse Mme Yalcinkaya.
“Faute de trace écrite, le savoir-faire a disparu avec les derniers maîtres. Aux 18e et 19e siècles, les connaissances techniques étaient en grande partie perdues.”
Jusqu’au 20e cycle exclusivement, absoute à la penchant d’une économiste, Isil Akbaygil, quant à l’art gros-grain : en 1993, lui-même crée la Fondation Iznik tout autour d’experts et d’universitaires qui entreprennent d’retirer les secrets perdus des précieuses céramiques.
“Ce qu’on avait oublié, ce ne sont pas tant les matières premières elles-mêmes, mais leur combinaison, les températures et la méthode de cuisson, pour obtenir ce rouge corail si particulier”, souligne Kerim Akbaygil, gosse de la entrepreneuse et vice-président de la Fondation.
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“La Fondation a passé près de deux ans à essayer de trouver la bonne recette, en collaborant avec différentes universités comme le MIT (Massachussets Institute of Technology), l’Université (américaine) de Princeton et l’Université technique d’Istanbul”, précise-t-il.
“Nous avons procédé par essais, avec des ratages, mais nous avons finalement trouvé la solution”, raconte-il en recevant l’AFP au pouf de la Fondation, désenveloppé logement aux tuiles cobalt et turquoise.
“Les carreaux d’Iznik sont les seuls au monde à contenir jusqu’à 85 % de quartz, incorporé à la matière première constituée d’argile et de silice”, détaille-t-il.
Ils sont derrière émaillés comme un prix disciple de violet qui à elles confère une “luminosité et une profondeur caractéristiques”, vante-t-il.
Décorés de motifs peints aux oxydes métalliques laquelle les oriflamme sont avivées par le suite de coction, ils sont derrière recouverts d’une glaçure à ossature de violet dénommée “sir” : le “secret”, en ottoman.
“Beauté de la surprise”
Bleus cobalt vibrants, verts verdoyant, rouges polypier, les pots de oriflamme s’alignent sur les étagères d’une longue comédie à l’entresol, où une douzaine de femmes sont à l’œuvre, touffes en paumelle.
Plusieurs sont penchées sur une grand peinture sort à une rangé, l’une des commandes importantes de la Fondation laquelle méconnaissables réalisations ornent déjà des stations du métropolitain d’Istanbul.
Esquissant l’obscurcissement d’une feuillet de banian, Yasemin Sahin, 42 ans, se dit captivée par la variation des oriflamme à la coction.
“J’ignore à quoi ça ressemblera à la sortie du four. C’est toujours une surprise, ce qui en fait la beauté”, confie-t-elle.
Trente ans ensuite à elles réactivation, les carreaux d’Iznik sont désormais visibles sur de plusieurs bâtiments à défaut la Turquie et le divergence de la Fondation s’étend du Japon au Canada.
“À l’époque, les céramiques d’Iznik étaient destinées aux seuls palais et mosquées. Maintenant, ce tabou est levé,” souligne Kerim Akbaygil.
Ezgi Yalcinkaya salue les recherches des universitaires et chercheurs de la Fondation qui “ont ranimé une tradition”, se félicite-t-elle.
“Les céramistes ottomans ont continuellement innové” à défaut les siècles. “Le travail d’aujourd’hui perpétue cet esprit, en garantissant que la tradition reste vivante et pertinente, ce qui est la meilleure façon de préserver le patrimoine culturel”, insiste-t-elle.
Avec AFP