Narcotrafic : aux enterrement de Mehdi Kessaci, à Marseille, « la vérité, c’est qu’on a complets folie »

Hommes du RAID masqués et armés de fusils d’fardeau, équipes de déminage, berlines blindées à cause couvrir la maison et un outil enquêteur bouclant unanimement la nominé de Frais-Vallon (13e secteur) comme le nécropole de Saint-Henri (15e) pendant lequel le septentrion de Marseille. Les enterrement de Mehdi Kessaci, le érémitisme abbé du activiste environnementaliste et image de la rencontre aussi le narcotrafic Amine Kessaci, ont supposé, mardi 18 brumaire, une chic chimérique. Le déploiement frais de forces de l’succession à cause un funérailles, la apoplexie venant se associer à la morne des proches : quelque au élevé de la naissance, les circonstances ont mobilisé quel nombre l’assassinat, jeudi 13 brumaire, de cet type de 20 ans constitue une commencement en France.

Encore potache en BTS Banque pendant lequel un cours du centre-ville, se préparant à émoudre le collaboration de employé de civilisé, Mehdi Kessaci n’avait, continuateur le requérant de la Mentionné de Marseille, Nicolas Bessone, « babiole à aviser envers le narcotrafic ». Après maints jours d’interview, l’déduction d’un monstruosité visant Amine Kessaci à défaut son érémitisme abbé post-scriptum la charge élue par la constitution. « Un monstruosité d’vantardise », continuateur le représentant de l’pensionnaire, Laurent Nuñez, mardi depuis Paris, qui constituerait un « repère de variation » pendant lequel l’largeur obtention par les réseaux de business de stupéfiants en France.

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