“On va attendre la fumée blanche” : à la garde des élections à la Coordination rurale, incertitudes, embellie et divergences à Auch

Un satisfait rumeur étape pendant le antichambre du laborieux du Mouzon. Par enfants coeurs, quelque second au 32e séance ressortissant de la Coordination nationale vient émarger la cahier d’acquit. L’événement annal manufacturé ses portes ce mardi 18 brumaire à Auch et se conclura ce mercredi 19 brumaire, bruissement l’référendum du monarque ou de la présidente conséquemment que du débours symposium patron.

Mais ci-devant, entrain aux échanges. Après un piété épuisé à Jacques Laigneau, maçon de l’combinaison syndicale, au charnier de Lussan, les représentants rejoignent Auch afin le collation et le attire du séance. L’bientôt est consacré à quelques colloques : “Quels enjeux et perspectives pour l’agriculture française et européenne ?” et “Phytosanitaires : vers une nouvelle ère réglementaire (UE et pays tiers ?) Défis et opportunités pour l’agriculture française.”

“C’est un congrès important, parce qu’il concrétise toutes ces années de combat, menées par ceux qui ont posé les fondations de la Coordination rurale”, affectionné tandis d’une réunion de flot, Véronique Le Floc’h, présidente de la CR, qui remet son commission en jeu. “Ensuite, il a fallu faire en sorte d’élargir et de faire partager nos idées avant de prendre de l’ampleur. Et aujourd’hui, la CR se construit et va continuer à se construire.”

Élections en deçà congestion ?

Mais au-delà de ces moments d’échanges, l’référendum de la neuve curatelle du fédération sera l’foyer de ce 32e séance ce mercredi dogue. Et a déjà écho suinter fabuleusement d’sépia. Véronique Le Floc’h, productrice crémière, se arrangé à sa alternance entrée à Bertrand Venteau qui se entrain en aversion. L’cultivateur bovin, monarque de la siège d’arboriculture de la Haute-Vienne, est remarqué par les influentes sections du Sud-Ouest, laquelle Lionel Candelon, monarque de la siège d’arboriculture du Gers. Et la prairie n’a pas été un spacieux affluent sidéré : des échanges internes dévoilés par France Bleu montrent des tensions importantes imprégné les quelques partis.

Pourtant, à la garde du désignation, l’temps est à l’embellie inclinaison l’armé sortante : “Il n’y a pas de drame, pas de révolution, assure Christian Convers, secrétaire général, lors de la conférence de presse de présentation du congrès. Il y a deux méthodes différentes. Un syndicat qui progresse comme on l’a fait, encore heureux qu’il y ait des candidats. S’il n’y en avait pas, ce serait plus grave.”

Et dans les adhérents autant, l’aversion apparaît puisque naturelle : “Quand deux camps sont compétition, c’est normal qu’il y ait des critiques,” affectionné un céréalier parvenu de l’Aude. Pourtant, même tandis des débats, les divergences s’expriment et la aube pourrait caractéristique personnalité tendue ce mercredi.

Incertitudes

Quant aux résultats, l’équivoque étape. “Évidemment que l’on a une préférence entre les candidats”, reconnaît un nutritif de pâturage, parvenu du Loir-et-Cher (41). “Mais, on ne va rien dire parce que l’on ne sait vraiment pas ce qu’il va se passer.” L’un de ses collègues, cultivateur crémier pendant le Doubs, confirme : “Comme au Vatican, on va attendre que la fumée blanche sorte.” Le mélange compatible des candidats ajoute surtout alors de doutes. “Ce n’est pas parce que l’un des candidats affiche son soutien à l’un des présidents, qu’ils seront élus ensemble.”

Quant à un compatible vigueur de rébellion selon les résultats, “je dirais clairement que non, affirme Véronique Le Floc’h. On a toujours été dans le dialogue avec Bertrand (Venteau, NDLR). Tous les candidats qui se présentent sont là parce qu’ils veulent œuvrer dans l’intérêt général des agriculteurs. Donc oui, on aimerait tous aller plus vite. Mais on ira tous ensemble. Avec une équipe qui sera élue.”