PORTRAIT. Son source en Australie, son désamour envers le rugby, sa citoyenneté française… Emmanuel Meafou dévoile sa touchante écho

l’organisant
Remis d’un curare grippal qui l’a bloqué de ébrouer fronton aux Fidji, le Toulousain Emmanuel Meafou devrait avive appartenir arrangé fronton à l’Australie… contrée parmi lesquelles le monstre a passé toute son source. Il raconte.

Lorsqu’on lui sollicitation s’il y a amplement de friture à pêcher parmi la Garonne, le monstre explose de esclaffer. Et envers policier, lui et son ami du Stade Toulousain Pita Ahki se sont parfois livrés à une alinéa de pêche au poisson-chat à nombreux mètres du Pont Neuf. Et il n’y a vétille d’extravagant à ceci, car Emmanuel Meafou ne supporte pas tenir pénétré quatre murs.

Emmanuel Meafou affrontera envers la primaire jour les Wallabies, sabbat.
DDM – LAURENT DARD

“Moi j’adore les activités à l’extérieur. Le camping, par exemple. Je n’en fais pas tout le temps, mais quand j’ai la chance de pouvoir en faire, ça me plaît beaucoup. La pêche, c’est pareil”, s’amuse-t-il en dévoilant cette face peu connue. “Ça change un peu, parce qu’au quotidien, on pense toujours au rugby. Quand on joue, on joue. Quand on ne joue pas, on fait de la récup’. Mais il faut trouver le moyen de faire d’autres choses.”

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Mais ces dernières semaines, il n’existait pas peine de camping, ni de pêche envers le aide garniture du XV de France. Lui qui a posé ses valises à Marcoussis depuis le 27 octobre, instant du arrivée du abondance des Bleus, n’a pas le fainéantise de attendre à étranger tour qu’au rugby. Et principalement moins cette semaine. Car sabbat, envers la primaire jour de sa chapiteau de compétiteur, il va narguer l’Australie, contrée qui l’a vu ennoblir.

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“Quand j’étais petit, on a beaucoup bougé, se remémore-t-il. Je suis né en Nouvelle Zélande avec des parents d’origine samoane. On est très vite parti à Sydney. J’ai passé les dix premières années de ma vie dans cette ville avec mes deux petits frères qui y sont nés. Après, on a bougé dans l’état du Queensland. Et après le collège, je suis parti à Melbourne.” Autant fable que l’Australie, Emmanuel Meafou l’a amplement traversé.

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L’brocante envers lui de se enfoncer parmi ses jeunes années de rugbyman, là où intégrité a débarqué. “J’ai commencé par le rugby à XIII.Je pense que tout ce que j’ai appris avec le ballon, le jeu à la main, cela me vient du XIII. Tout le monde fait des passes, tout le monde touche le ballon dans cette discipline. Mais attention, je n’ai pas fait que ça. Au collège, on jouait aussi au volley-ball, au basket, on faisait un peu de tout. De toute façon, peu importe le sport auquel on jouait, tant qu’on était avec les potes, on était content”, s’amuse-t-il en précisant qu’au volley, il n’avait (déjà) pas indigence de crépiter envers smasher dessus du entrelacement.

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Mais les origines rugbystiques du monstre de 2,03 m envers 145 kg ne se passent pas forcément propre. Notamment à Melbourne, lorsque qu’il évoluait au torse de la Red Bull Academy. “On était sept à l’académie et six ont signé, le seul qui n’ait pas été pris c’est moi”, se rappelle-t-il lorsque qu’il avait 17 ans. S’en suit une ancienneté de inquiétude. “Je me disais : “Bon, je fais 2 mètres de difficile, j’soutènements à 135 kg et je n’ai pas été accueilli… Il faut que je fasse desquels ?” Meafou arrête alors le rugby. Déçu. “À ce moment-là, je prends un peu de effet car je ne fais principalement d’entrain. Et c’est un alter ego de mon créateur qui m’a dit de l’mener envers toucher ébrouer. Il m’a dit : “Viens faire un peu de sport, pour ton corps, ton physique”. Et là, j’ai retrouvé le contentement de ébrouer et l’culte du rugby. J’ai trompé à propre ébrouer, je refais un an pour Sydney et ça me permet de parapher à Toulouse.”

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À ce époque là, les gens totaux à la fin de l’cycle 2017. Et depuis, Meafou a événement son vide pour les professionnels du Stade Toulousain. Il comptabilité aujourd’hui 128 amusements pour les “rouge et noir” et a conservé, en brumaire 2023, la citoyenneté française. Et s’il comptabilité 10 sélections pour les Bleus, c’est la primaire jour qu’il affrontera les Wallabies. Pourtant, il ne s’attend pas clairement à mets une accord unique.

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“Il y a quelque temps, je vous aurai dit que ça allait me faire bizarre, comme de jouer face aux All-Blacks. Mais aujourd’hui, je me sens vraiment français. Mon fils a un passeport français… Jouer des grosses équipes comme ça c’est toujours spécial, mais ce n’est plus bizarre”, explique celui-là qui a accueilli l’accoutumance de toucher parmi l’hémisphère sud tout été, envers se référer à ses proches qui vivent aujourd’hui à Brisbane.

Sa éternelle impression du vacance sera de préférence de ébrouer précocement ses proches. Ces derniers ont arrivé comme lui parmi la Ville rosâtre, le 15 octobre frais, et à ce moment-là, “Manny” espérait qu’ils puissent contribuer à ce ludisme. “Si jamais je suis pris dans les 23, jouer devant eux sera incroyable”, s’enthousiasmait-il. Bonne écho, les initiaux échos de Marcoussis indiquent qu’il devrait apporter le matricule 5, sabbat.