Rodez. AOP, IGP : les sénateurs obtiennent l’permission du Nutri-score

“On ne peut pas décider de rendre obligatoire l’apposition du Nutri-score en France, contre l’avis de l’Union européenne, sans un débat de fond.” Tout parfois, le député Jean-Claude Anglars a débuté la précepte derrière s’amplifier comme “ des députés qui, au détour des débats sur le PLFSS (projet de loi de financement de la Sécurité sociale), ont introduit l’obligation d’apposition du Nutri-score sur tous les produits alimentaires commercialisés, sous peine d’une taxe de 5 % de leur chiffre d’affaires en cas de non-respect de cet affichage”, a gazette le député façade l’aréopage du tribunal du Luxembourg.

Au paye de germinal final, Jean-Claude Anglars avait déjà assimilé la consul de l’Agriculture, Annie Genevard au prédisposé du Nutri-score. Le député plaide depuis derrière instaurer un critère qui “tienne compte de notions essentielles dans la notation des aliments telles que l’équilibre alimentaire, les qualités nutritionnelles et les bienfaits pour le système immunitaire… Ces critères sont écartés alors qu’ils participent du rapport de confiance entre les consommateurs et les producteurs”. “Pendant les débats, dans le cadre d’un amendement que j’ai porté, nous nous sommes battus pour clarifier un maximum la liste des produits exemptés : AOP, IGP, produits fermiers et produits bruts”

De comme, Cette fiscalité supplémentaire porterait atteinte aux producteurs locaux en créant une charge supplémentaire injustifiée “, a plaidé Jean-Claude Anglars