Le amour Pita Ahki qui vit ses derniers jours à Toulouse façade de refouler en Nouvelle-Zélande, le 1er décembre, a publié ses primordiaux messages d’salut sur son rythmé Instagram.
Pita Ahki est un serviable de peu de mots. Aussi à un couple de jours de son amorcement du Stade Toulousain, subséquemment sept ans de éclatants et probes aumône, ses prises de paroles vont créature scrutées étroitement. Si le amour Néo-Zélandais devrait refuser son terminal concurrence derrière Toulouse, sabbat 29 brumaire, front au Racing, il a publié un antérieur harangue d’salut sur son rythmé Instagram.
Dans la nuitée de mardi 25 à mercredi 26 brumaire, Pita Ahki a publié une caricature de lui, en diagonale de Sofiane Guitoune derrière qui il a fable la collègue donc de ses premières années toulousaines. La caricature réalisait accompagnée du harangue traquant : “Ma première saison… J’ai l’impression que c’était hier.” La pessimisme commence à s’retirer du plein compétiteur occitan.
“Ce sont des souvenirs que je vais chérir pour toujours”, écrit-il pour un annexé harangue joint d’une caricature de lui, mains sur les hanches, et son continu cornette attaché sur la visage. Âgé de 33 ans, Ahki disputera front au Racing, son 159e et terminal concurrence derrière le deux-pièces “rouge et noir”.