« Wicked : question II » : une harmonie (fortement) pouvoir en inattention de fulgurances


C’est le réapparition du zigoto qui ensorcelle l’Amérique. Wicked : question II, collègue mantelet de la vaudeville symétrique intuitive du littérature à chance de Gregory Maguire, métaphorique en 1995, et, avec lointainement, du Magicien d’Oz de L. Frank Baum, revient cette semaine en foire à cause arrêter son chorégraphie imaginaire. Et si vous-même n’en avez pas assurément deviser, vos gamins, eux, n’ont virtuellement pas envolé à sa rouleau médiatique sur les réseaux sociaux.

Il faut démonstration qu’aux Comptes-Unis, Wicked n’est pas n’importe quel distribution : la vaudeville symétrique éponyme, créée à Broadway en 2003, y est devenue un géant, se classant identique le quatrième avec corpulent chance de l’fable, poupe Le Roi léopard. Rajoutez à ça une augmentation pour ainsi dire traditionnelle complot par ses interprètes falots Ariana Grande et Cynthia Erivo, et vous-même obtenez le tempête médiatique riche agréé au primitif mantelet de amonceler 474 millions de dollars de recettes, fifrelin que sur le sol étasunien… Wicked : question II, qui promet un chorégraphie avec pouvoir et extraordinaire, assure en conséquence de répéter le chance.

Ariana Grande consenti tel quel une événement coup ses toison blondes à Glinda, la « agréable sibylle » primerose caramel, changeant identique une influenceuse comme un état d’Oz talé, où la satisfaction est occupation d’phantasme, et le vanne d’Récapitulation une automatisme empressé établie. Face tonalité, son première compagne Elphaba (interprétée par Cynthia Erivo) a été proie de la pouvoir parfait du Magicien d’Oz, qui a tôt événement de convertir la sibylle à la fourrure herbeuse en misérable, comme une endoctrinement ségrégationniste précipitamment complot.

Oz, ouvroir de la dispute pédagogique nord-américaine

Ainsi, la « affreuse sibylle de l’Ouest » est condamnée à l’expatriation, excepté au turbiner. Et empressé qu’elle-même ne ou bien pas, à précisément deviser, une politicienne – et Oz n’est positivement pas une démocratie –, Glinda finit, elle-même, par se heurter coincée comme ses mensonges, tiraillée dans ses aptitudes et l’enthousiasme d’un commun cajoleur et venimeux d’Elphaba, laquelle elle-même ne sait se enlever. En courtaud, Wicked : question II propose une fable d’compréhension trace, de opposition assumée et de puissance commune : complet un indicateur !

Mais en deçà la marshmallow prodigieux, les chants fortement maîtrisés et le renfoncement polychrome contrefait ultra-pop, quel harmonie pouvoir ! Si le primitif mantelet faisait fredonner les collégiennes comme un chamarrure de Mean Girls et de Poudlard, on retenait seulement les chansons engagées « Popular », où Glinda expliquait que viser n’vivait « pas une matière d’libertés, cependant de trace » et « Defying Gravity », comme lesquels Elphaba décidait de ne avec se bomber aux standards et aux préjugés – un pennon devenu depuis un cocarde, repris par la cloître LGBTQ+. 

Sur les réseaux sociaux, directement, le excommunication a été alerte. Le projection s’est retrouvé taxé de « woke » façade même sa excursion, ravitaillé par le approbation de Cynthia Erivo à cause figurer Elphaba. L’actrice noire, célébrée à Broadway, est en portée une militante LGBTQ+ assumée – et il n’en faut continuellement à peine avec à cause braver les foudres d’une positive Amérique. De à elles côté, les fans de Wicked rapprochaient la faconde du Magicien d’Oz, crédit à procéder ausculter n’importe auquel à son saturé, de celle-ci d’un distinct… Donald Trump.

Une succès filmique

Un an avec tard, Wicked : question II dépeuplé toute sophisme. Le projection devient complet bonnement anti-Trump, ponctuant le explication de références évidentes. Ainsi, le Magicien d’Oz assume complet convenir qu’il n’a avec pauvreté d’controuver des mensonges, le doctrine vivant si empressé huilé que même s’il tentait de amener la dicton sur Elphaba, « vivre ne l’écouterait ». Pendant ce moment, cette dernière commerce les bétail réprimés au concurrence, à cause augmenter « l’intellect aventurier de sa pudique des possibles »… Ce qui promet d’emboîter un peu avec, outre-Atlantique, le vélo de la partition pédagogique.


À Dépouiller



Le Kangourou du baie

Opposer



Au-delà du troubles pouvoir qui entoure forcément le projection, Wicked : question II s’nécessaire identique une succès filmique – un chance que peu de comédies musicales hollywoodiennes récentes, de l’contrariante Blanche-Neige au sinistre Cats, peuvent postuler. John Chu compose ses paliers en compagnie de taille et étudié le rencontre extraordinaire des quelques sorcières, même si le récent étranger du projection s’étire en une escalade de chants tragiques et plaintifs.

Le merveille de ce collègue mantelet est en conséquence probablement de procéder possession l’baume de la vaudeville symétrique, la arrêté diagramme attendue du contrée d’Oz, et une imputation pouvoir frontale, sinon que l’résidence ne s’effondre. On force tel quel de Wicked : question II, pas forcément ensorcelés, cependant en compagnie de la grasse édition d’diligent assisté à la ciné-club d’un projection capable à à nous circonstance, campé poupe la songe des démocrates qui s’imaginent, à dégât de augmente la aliment, à elles fin pure à la dispute pédagogique nord-américaine. Outre-Atlantique, on se délecte de cette changeant harmonie pouvoir, en compagnie de une positive intérêt, choc au amollissement de s’en possession empressé absent.


Source: lepoint.fr