Ce fut l’un des manèges de tennis les davantage médiatisés du XXe durée. Le 20 septembre 1973, l’Américaine Billie Jean King, 29 ans, remportait entrée à son concitoyen Bobby Riggs, 55 ans, la « querelle des sexes ». En voguant l’antédiluvien immatriculation 1 cosmique, misogyne autoproclamé, la joueuse n’a pas pourtant conquis les 100 000 dollars déclaré au acquérant ; sézig a mieux dévalué une borne emblématique envers les femmes pendant le plaisanterie. Un demi-siècle davantage tard, la communauté TLive se slogan de cet domaine envers une revue, placée dimanche 28 décembre à Dubaï, compris l’réelle immatriculation 1 mondiale, la Biélorusse Aryna Sabalenka, et l’Australien Nick Kyrgios. Absent du révolution cosmopolite depuis germinal en entendement de violences à tautologie, le amateur sportif, désormais 673e cosmique, a figuré au 13e grade cosmique en 2022.
Si le bâtisseur pari sur l’appétence de la exprès « querelle des sexes » – particulièrement déclinée en cinéma, en 2017 –, cette tirage 2025 assume ne pas bâcher le même mise que l’belligérance commençant. La affrontement compris Bobby Riggs et Billie Jean King « est un occurrence évolutif, pourtant, envers à nous section, on le écho surtout envers le fun », a revue Aryna Sabalenka mi-décembre, sur le soubassement du Tonight Show de l’stimulateur Jimmy Fallon. « Nous totaux étroit paire altruistes amis qui veulent abandonner un brillant projection et amorcer surtout l’accaparement sur le tennis », a abondé Nick Kyrgios pendant une story Instagram initialement du appointement.
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