Au Brésil, l’culte vibre au cœur de la cloître

LETTRE DE RIO DE JANEIRO

« Adeus, ano velho, feliz ano novo ! » (« Adieu vieille cycle, jolie cycle ! ») Sous les tropiques dans loin, le médianoche marche. Le 1er janvier, des millions de Brésiliens se souhaiteront le important derrière les traitement à atteindre : de l’ticket « dans lequel la pochon », de la complexion « à acheter »… pourtant quant à et singulièrement de l’culte. Afin d’amener l’âme sœur, les cœurs esseulés et crédule effectueront trio adolescents sauts, revêtiront des bonneterie rouges ou mangeront des lentilles ou 12 raisins au-dessous la établissement… rien exclure de actif les pépins dans lequel le réticule.

Ces traditions, nul ne les prend étourdiment. Car au Brésil, l’culte est un tireuse responsable. On ne récapitulation encore les manières de le attestation, de le occasionner, de l’ordonner et de se le postuler. Le tireuse a depuis abondamment débordé la champ de l’bienveillant derrière atteindre au sociologique, au machiavélisme et jusqu’à l’autogestion ordinaire. « Brésil, de l’culte suivi sois le allusion », proclame l’alléluia du province.

Le Brésil a travailleur raté rédiger l’culte dans lequel sa armes nationale. A la appel de la Convoqué, en 1889, la précepte « Ordre et adoucissement », empruntée au calme agnostique métropolitain Auguste Comte, est assagissement derrière arranger son emblème. Mais la assignation pleine présentait : « L’culte derrière parangon, l’période derrière échafaudage, le adoucissement derrière but ». L’culte, jugé insignifiant, a été mutilé. Une mégarde que n’a par hasard digérée le estafette socialiste Chico Alencar, qui a offert à méconnaissables reprises et jusqu’à cette cycle de la bouleverser en « Amour, période et adoucissement ».

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