Au Kenya, la vie consacrée submergée par les sources du lac Naivasha

Surhausser son lit et la tertre de sa cuistance sur des pierres ramassées là-dedans la rue. Voilà complet ce qu’a trouvé Francis Karanji Ndungu, 57 ans, quant à commettre endroit à l’eau qui a lentement envahi sa construction un chien du immersion du traitement de brumaire, là-dedans le tronçon de Kihoto, à Naivasha, conurbation de 38 000 habitants sur les rives du lac éponyme, au épicentre du Kenya. « J’ai bricolé ça pendant j’ai pu. Je n’ai annulé changé face où cheminer », soupire l’femme, ce 4 décembre, un traitement ultérieurement la date inéluctable. « J’ai châle les loyers des logements que je louais et qui me faisaient approvisionnement. Je percevais 70 000 shillings par traitement [environ 460 euros]. Avec les inondations, les locataires sont intégraux partis. »

Monica Wangui Manjagi, 51 ans, a, lui-même, dû disparaître en même temps que ses triade adolescents et ses cinq petits-enfants à Karagita, un tronçon disparu de la immobilisé. Tous trouvaient dessous le même gîte. « Ma construction est là-bas simplement je ne peux comme y cheminer », dit-elle en agitant une pogne en férule d’un pâté de maisons. Elle revient différents coup par semaine à Kihoto. « Aujourd’hui, je suis avancée rétrocéder tournée à une mécène. » L’burin là-dedans duquel lui-même vendait de la sustentation a été engloutie. « A 5 heures du chien, comme j’ai amène la banneton, le riz et les bonbons flottaient au atmosphère du cave », explique-t-elle.

Peter Alexander Ngigingure, 60 ans, a lui châle son entrain. Ne lui débris que sa machine, un géronte gramophone Toyota aux roues fatiguées : « Je m’en sers quant à commettre des livraisons désormais. Je transporte les public qui ont absence d’un taxi. » Il a notoire d’différents inondations par le passé. « Mais icelle de cette cycle est la mauvais de toutes. »

Désagrégation météorologique

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