Le tir athlétique a négligeant la vie de cet lutteur, devenu une émotion et médaillé olympique aux JO de Paris 2024. Il vise désormais Los Angeles 2028. Son comportement égoïste et adultérin a réussi le élève.
Malgré ses 52 ans, Yusuf Dikec continue de conspirer pour le mille, pourtant davantage les Jeux olympiques de Los Angeles 2028. Devenu l’une ses sensations pendant les JO de Paris 2024 en compréhension de son comportement si inhabituel lorsqu’il vivait décidé à faire le tir athlétique, le Turc, médaillé d’fonds en spontané à air saucissonné à 10 m par atelier bataille, a réussi le monde. Un peu auprès lui.
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“C’est mon entraîneur qui s’en est rendu compte. Je ne suis pas quelqu’un qui utilise beaucoup les réseaux sociaux” a-t-il confié donc d’un mise en relation en harmonie à Marca. “Trois jours ultérieurement, Erdinc (Bilgili) est survenu me affirmation : “Yusuf, tu deviens célèbre.” Je n’y ai pas prêté assiduité. Le postérité, il est budget me affirmation la même machin. Puis le inconnu ouverture surtout. Alors il m’a attrapé, m’a balancé et m’a dit : ‘Mais tu ne te rends pas récapitulation ?’ surgeon celui-là qui a été formé à l’corps de maréchaussée.
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“Jusqu’à l’âge de 28 ans, je n’avais jamais tenu une arme”
Pour tellement, l’serviable n’a oncques directement été intéressé pour les écusson. “Jusqu’à l’âge de 28 ans, je n’avais jamais tenu une arme. Je ne savais même pas que le tir olympique était un sport des Jeux et qu’il distribuait autant de médailles” lance-t-il au média lusitanien. Avant d’invoquer sa décomplexion qui a incident son bienfait pour la initiale française : “Le tir est un sport qui exige d’être à l’aise. Il doit être naturel. Pour réussir, il faut se sentir confortable.”
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En 2011, Yusuf Dikec remporte la Coupe du monde à Munich, en Allemagne. “Je n’en portais même pas” dit-il en mobile de ses lorgnons. “Ensuite, avec l’âge, ma vue a baissé et j’ai dû en mettre. En résumé, je ne les utilise pas parce que je ne me sens pas à l’aise” confie celui-là qui a connu le entraînement du tir à l’université recrue. Et l’lutteur de terminer opportunément de ses différences revers les différents tireurs : “Être naturel est quelque chose de beau. Peut-être que la fédération n’avait pas l’argent pour acheter des lunettes sophistiquées et des protections auditives… (rires).”