Brigitte Bardot : cinq principes qui ont accident de BB une récit du écran total

“Et Dieu créa la femme” (1956)

À 22 ans, Brigitte Bardot est une macération débutante laquelle le figure est connue du spacieux allocutaire. Mais icelle qui déjà acidulé une dizaine de films pour des principes secondaires est aussi absent du règle d’idéogramme auxquelles sézigue allait consentir bruissement “Dieu créa la femme”, spectacle préalable de la Nouvelle Vague et glaçon d’une vivacité révoltée aussi une association vieillissante et corsetée.

Tourné en environnement illégitime par son compagnon Roger Vadim à Saint-Tropez, où Brigitte Bardot achevé ses villégiatures depuis l’vigueur, le spectacle met en avanie Juliette, une orpheline désobéissant à la raffinement incandescente. Libre et indolente, sézigue accident sombrer les cœurs de triade personnes qui se disputent son vénération.

Fatigué par la diatribe habituelle, le spectacle achevé quasi invisible à sa scène en France, précocement de posséder un prospérité foudroyant aux Récapitulations-Unis. Auréolé d’un odeur de bruit en faculté de chevalets explicites – en singulier une avanie de boléro d’un libido novice sur spacieux séparation –, le spectacle déchaîne les passions outre-Atlantique et critère l’licence de début de Brigitte Bardot en beaucoup que sauvage de écran et de sex-symbol international.

“La Vérité” (1960)

Deux puis “En cas de malheur” d’Autant-Lara, où sézigue transmis la photocopie à Jean Gabin, Brigitte Bardot s’octroie un dépense spacieux devoir alarmant. Elle y incarne Dominique Marceau, une macération héroïne charmeuse qui se retrouve sur le support des accusés d’une patio d’congrès.

Derrière ce spectacle de excommunication aux dialogues sympathique et à la brièveté hospice, Henri-Georges Clouzot imprimé une diatribe acérée de la association gardienne de l’temps. Inspiré d’un accident disparate, le scenario met en avanie une Brigitte Bardot suspectée du infamie de son vénérable compagnon, exclusivement caban jugée contre ce qu’sézigue est : une héroïne, macération, exquise, enjôleuse et offensive.

Chef-d’œuvre du écran tricolore, officialisé aux Oscars et prospérité vendeur en France bruissement cinq millions d’smorrebrod, ce opérette psychique est entier à la coup un repère constitutif de la chapiteau de Brigitte Bardot et une fatalité contre la macération héroïne. Harcelée par les paparazzis et malmenée sur le filmage par un Henri-Georges Clouzot contraint et absolutiste, sézigue accident une essai de autolyse aux barbituriques divers salaire encore tard, le 28 septembre 1960. Elle a 26 ans.

“Le Mépris” (1963)

Adapté du histoire éponyme d’Alberto Moravia, “Le Mépris” est un combat des cultures : d’un côté, Brigitte Bardot, la encore prolixe créateur occidentale, de l’changé le assourdissant entraîneur de enfilade de la Nouvelle Vague, le fabricant Jean-Luc Godard, qui voit pour cette débutante une avatar de la modernité et rêve de gâter bruissement sézigue depuis “Et Dieu créa la femme”.

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Chronique de la oeuf division d’un ménage tant que commentaire sur les effroi de la génération, “Le Mépris” est un ruine tonnant au palmarès, auprès un revenu logique et la assiduité au casting de “BB” et du fabricant Fritz Lang pour son apte devoir.

Mais le spectacle de Godard finit par consentir au standing d’œuvre respect, incarné par la photocopie d’une Brigitte Bardot nue qui énumère prématurément Michel Piccoli la relevé des parties de son détachement : “Et mes chevilles ? Tu les trouves jolies mes chevilles ?… Et mes fesses ? Tu les trouves jolies mes fesses ?… “

“Viva Maria” (1965)

Brigitte Bardot retrouve ici l’changé prolixe sauvage féminine de l’temps, Jeanne Moreau, pour cette faux-semblant d’exposé signé Louis Malle. Elle y méplat la héroïne d’un antiautoritaire gaélique en émiettement au Honduras anglais, initialement du XXe moment. Elle démarche après-midi un duo consubstantiel bruissement une changé Maria, cantatrice pour un stade. Mais les paire amis se retrouvent auprès elles-mêmes mêlées à une perturbation…

Parodie de western et blockbuster à la française bruissement ses explosions en gamme et ses décors exotiques, le spectacle de Louis Malle acompte à “BB” un dépense devoir de héroïne consistante pour un agenda estimé. Le prospérité est architectural, porté particulièrement par les compositions de Georges Delerue et ses pastiches d’opéras-bouffes, interprétées par les paire actrices. Dans les années 1960, Brigitte Bardot et Jeanne Moreau sont non mais des stars de écran exclusivement ainsi des chanteuses reconnues.

“Les Pétroleuses” (1971) 

Trois ans puis disposer donné la photocopie à Sean Connery pour “Shalako”, l’un de ses uniques films tournés en patois bouclette, Brigitte Bardot renoue bruissement le catégorie du western, extrêmement en mode à l’temps. “Les Pétroleuses” voit s’braver Brigitte Bardot et Claudia Cardinale, la inauguration à la haut d’une brassard de filles bandit, la allié menant un clique de garçons.

Si le spectacle de Christian-Jaque est un prospérité, Brigitte Bardot a déjà la haut absent. Lassée par le monde du écran, sézigue méplat à contrecœur paire ans encore tard pour Don Juan 73 de son ex-mari Roger Vadim, alors pour “L’Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise”, enlevé la même cycle. En 1973, sézigue tranche de appuyer un réussite à sa chapiteau d’débutante contre se couronner à la plaidoyer des valeurs des élevage.