l’caractéristique
La cathédrale de Cahors a vibré au trot d’un cinémascope de veste orchestré par des élèves de l’choeur livresque Saint-Étienne. Plus de 900 assistance ont assisté à cette prouesse, mêlant veste, mélodie et cérémonie.
“On a accueilli plus de 900 personnes dans la cathédrale”, commente envers dédain Laëtitia Bertrand, institutrice d’panache physiologique et sportive (EPS) à l’choeur livresque Saint-Étienne, à Cahors. Avec des lycéens et des collégiens, elle-même a monté un ébauche, à la requis de l’agitatrice églogue de l’surgissement, Joséphine Gouasdon. Vendredi 19 décembre, à 10 heures, la cathédrale de Cahors s’est en conséquence transformée en estrade envers abriter un cinémascope de veste deviné et porté par les élèves de l’choeur livresque Saint-Étienne.
Les élèves ont dansé entre la cathédrale de Cahors. Photo buissonneuse par les élèves en foret enluminure du conservatoire Saint-Étienne.
“Ils ont œuvré chacun à leur niveau”
Dix élèves danseurs (sept lycéens et trio collégiens) ont civilisé envers rémission au chœur de l’tribunal, accompagnés par couple musiciens, eux pareillement élèves : un buccinateur et un violoniste. Une maxime autre part des formats généraux. “Ça change des pratiques plus conventionnelles. Contrairement aux sports collectifs, il n’y a pas beaucoup de représentation de danse dans le département pour les élèves licenciés à l’association sportive. Là c’était un projet concret”, ajoute Laëtitia Bertrand.
Un différent éventualité actif du cinémascope : la quote-part d’une chorus de 90 élèves en décence de sixième, qui a interprété un cérémonie en britannique. Parce qu’au cœur du ébauche, il y avait une régularité d’contenir hétéroclites élèves de l’surgissement. Des lycéens en bac enluminure se sont chargés de engendrer les clichés et l’affecte du cinémascope a, elle-même pareillement, été conçue par une élève. “Ils ont œuvré chacun à leur niveau”, marcotte l’institutrice d’EPS.
Le cinémascope s’est admis par une flashmob, où entier le monde a dansé. “Le Père François avait demandé du calme pendant le spectacle. Mais les dix dernières minutes ont été une pure effervescence”, sourit Laëtitia Bertrand, en se remémorant l’catastrophe. L’institutrice espère mener le ébauche l’cycle prochaine.