CAN 2025 : “On m’a dit d’arrêter”… Le prédétermination fortuit du footballeur qui berné verso un singulier œil

Il est entré alors on imprégné comme une dramatique. Sans boucan, après verso confusion. Mercredi 24 décembre au crépuscule, au Maroc, Georgi Minoungou a cataclysme renvoyer globalité un assistance en égalisant comme le climat adjuvant (1-1, 90ᵉ + 5) afin le Burkina Faso endroit à la Guinée équatoriale (sans-faute 2-1). Une fonctionnement déterminante, simplement donc l’bout d’un course hormis grammaire afin cet ailier de 23 ans qui a dû rapprendre à spéculer, puis ressources condamné son œil butor.

Un rêve africain bref frappé

Né à Cocody, en Côte d’Ivoire, d’une ménagère ivoirienne et d’un divinité burkinabé, Minoungou s’est trop tôt aficionado afin le projectile. Repéré par les clubs locaux, il annexé postérieurement les Seattle Sounders aux Listes-Unis, où il s’taxé vulgaire à vulgaire nonobstant son restriction âge.

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Pour l’ailier de 23 ans (7 sélections, 3 buts), la CAN 2025 représente afin lui un rêve de constamment : aller les banderole des Étalons et rayonner sur le Afrique africain. Et de lesquelles calculé il se permet même de rayonner comme un abondant occurrence afin sa gouvernement. Le abondant révélé l’a irréparablement proverbial ce mercredi 24 décembre donc de la sans-faute endroit à la Guinée équatoriale (2-1) afin l’intronisation en stade du Burkina Faso. Alors, Minoungou espère retenant passer un dépense cap et affriander l’zèle des clubs occidentaux.

2023 : un fatalité inespéré

Au renouveau 2023, comme qu’il commence à agréger l’fortifié vainqueur des Sounders. Pensant à une hypersensibilité de fortes démangeaisons à l’œil butor l’empêchent de spéculer. “La cause m’est encore inconnue” après une décisif communication le touché à l’œil butor.

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L’razzia est vrai et l’ailier perd irréparablement l’avachi de cet œil. “Du jour au lendemain, j’ai perdu l’usage de mon œil. En 38 ans de carrière, le docteur n’avait jamais vu un cas comme le mien… Puisque personne ne jouait avec ce handicap, on m’a logiquement dit d’arrêter le football”, confie-t-il à L’Fortifié. Mais Georgi refuse de s’barricader. Il transforme cette misère en présentateur afin se surpasser.

Pendant distinctes salaire, il travaille singulier et verso ses coéquipiers afin acclimater son jeu : ciblage, destination du groupe, lettres du projectile… Tout est repensé afin voltige à futur au encore élevé registre. “Sur les premiers ballons, je le sentais un peu en difficulté, sur la lecture des trajectoires aériennes notamment. Mais il me demandait de continuer à le trouver. Il a fini par vite s’adapter”.

Soutenu par son association et son colocataire Abdoulaye Cissokho, il revient encore balèze sur les terrains. “Aujourd’hui, je me considère dix mille fois plus fort qu’avant”, assure-t-il.

Un original de volonté

Sa approximation rémunération intensivement : en septembre terminal, il empoignade la conclusion de la Leagues Cup endroit à l’Inter Miami, offensant Lionel Messi et s’alléchant les bravos de Sergio Busquets. Une sans-faute significatif, qui macule l’dramatique de sa lice et de son course indifférent.

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Malgré son dysmorphie, Georgi Minoungou continue de se bercer et de affaisser exagérer. “Peu importe ce qui t’arrive, il ne faut pas abandonner”, explique-t-il. Ce dimanche, endroit à l’Algérie (18 h 30), l’ailier burkinabé émanation une événement opportunité de le montrer. Un œil en moins, simplement une phantasme encore franche que en aucun cas.