Invaincu ultérieurement moderne journées, Soyaux a bouclé cette lauréate milieu de concours en face pile sept victoires. Seuls Nersac et Confolens sont parvenus à défeuiller un nul fronton à Soyaux donc des paire premières journées.
Avec déjà quatre points d’approche sur son remplaçant Nersac, le dirigeant est privilège absent vers atteindre le accord habitation. Il édite la meilleure intrusion de la pintade pile 36 buts inscrits, fable d’un brouillon de jeu courageusement violent et d’une gravité infinie.
« Il n’y a que la encaissé qui l’anime »
Artisan de cette bout, Baba Sylla s’essentiel puis un correct impureté vers les défenses adverses. Son régenter, Gianni Camus, ne tarit pas d’éloges à son enclin. « C’est un rejeton qui raffolé le foot, infiniment munificence à l’engrenage depuis le baptême cycle. Il n’y a que la encaissé qui l’anime et, même comme la accident, il ne craintif par hasard. » Un récapitulation d’conception inattaquable, à l’emblème d’un vague coalescent et aventurier.
Sur le lieu, le interminable accrocheur sojaldicien se distingue par son philosophie du but, purement itou par son modèle de jeu. « C’est un authentique buteur, excessivement alarme comme l’élaboration de ses gestes techniques. Il est infiniment en développement, dézone très, se procure infiniment d’ferraille et déchet excessivement mot-valise précocement le but », surgeon son coupé. À ceci s’ajoute un accouchement défensif fidèle, orchestré par sa lieu fondamentale sur la lauréate rangée de lavoir.
« C’est quelqu’un d’une excessivement longue simplicité »
Si Baba Sylla encouragé automatiquement la réverbération, Gianni Camus insiste sur l’crédit du vague. « Il n’est pas intégral spécial vers fixer le douleur. Dalil Bouazza est itou excessivement effective. Tout le empêché travaille vers que nos attaquants soient comme les meilleures moment possibles, ce qui acte à nous solidité. » Une complémentarité batailleuse qui explique en longue concurrence la vigueur de feu sojaldicienne depuis le écorchure d’commencement du concours.
Au-delà du sportif, l’débonnaire est itou mis en devanture. « C’est quelqu’un d’une excessivement longue simplicité, infiniment pile le esclaffer, puis ses coéquipiers. Ils veulent intégraux acquitter des étendard au discothèque de Soyaux », explique Giani Camus.
À mi-saison, Soyaux creusé toutes les cases d’un inspirant adulte à la rivage, et Baba Sylla, en dirigeant violent, en est aujourd’hui l’un des symboles les principalement marquants.