La inimitié agricultrice se déplace dessous les fenêtres du gouvernant. En ciblant la logement aventure du présentateur de l’Compte au Touquet, proteste aussi Mercosur, qui pourrait participer adopté en janvier par l’Union Européenne.
La inimitié des agriculteurs ne faiblit pas. Ce vendredi 19 décembre, les agriculteurs ont frais de pointer la monument du règle présidentiel envers formuler à elles infortune, rapporte BFMTV. Outre la défi du traité de libre-échange derrière les race d’Amérique du Sud (Mercosur), les manifestants dénoncent la administration jugée défaillante de l’infection de pelade nodulaire contagieuse (DNC). Les tracteurs ont installé les environs de la domicile présidentielle
Présent sur posé, le proconsul (LR) de la arrondissement, Daniel Fasquelle, s’est acte le intermédiaire de cette désarroi. “On estime aujourd’hui ne pas être protégé comme on devrait l’être face à cet accord. Ils ne sont absolument pas rassurés”, poltron l’maire. Les exploitants ont du “mal à faire confiance” à un présentateur de l’Compte qui, subséquent eux, “a beaucoup tergiversé”.
À bouquiner donc :
DIRECT. Colère des agriculteurs : les départs en congés menacés par les colères paysannes, le administration “ne tolérera plus de nouveaux blocages”
Emmanuel Macron invoque son “bon sens paysan”
Face à la inimitié des agriculteurs, Emmanuel Macron a tenté de filtrer sa barrière de tuyau jeudi sur le Mercosur. “Je veux dire à nos agriculteurs qui manifestent, la clarté de la position de la France depuis le début : sur le Mercosur, nous considérons que le compte n’y est pas et que cet accord ne peut pas être signé”, a bosselé le gouvernant de la Cité.
Il a supplétif : “on ne peut pas aujourd’hui les sacrifier sur le Mercosur, ça n’est pas sérieux. Personne ne peut ignorer ce que je viens de vous dire”, “je n’aime pas qu’on balade les gens, donc je ne vais pas balader nos agriculteurs”, a principalement dit Emmanuel Macron, assurant capital “un bon sens paysan”.