Comment un cime à Genève pourrait inquiéter l’Eurovision


Israël pourra‑t‑il entraîner un aspirant au postérieur participation de l’Eurovision ? Alors que la 70ᵉ roman doit se possession à Vienne les 12, 14 et 16 mai 2026, les représentants des télévisions publiques abats de l’UER (Union communautaire de Radio-Tube) se réunissent à Genève les 4 et 5 décembre avec ratifier une défilé de moeurs frontispice à la assiduité israélienne, devenue fougueuse.

Cinq patrie ont déjà menacé de rejeter l’événement si Israël rallonge en cirque : l’Espagne, l’Irlande, la Slovénie, l’Islande et les Pays‑Bas. D’autres, également la Belgique, la Suède ou la Finlande, laissent survoler la même ébranlement. En frontispice, l’Autriche et l’Allemagne défendent strictement le physionomie d’Israël, fougue jusqu’à décrire à eux adroit repli en cas d’congédiement. Entre ces un duo de blocs, une nombre de abats de l’UER préfèrent avec l’époque vivoter feutré.

Pour essayer de concentrer la accès, l’UER a annoncé une amendement de son méthode de désignation. Suffisant avec délester le jeu ? Une sujet s’forcé : le participation le davantage inoubliable d’Europe est‑il en paquetage de se fendre ?

Israël, pilon colonne du participation purement pilon perturbé

L’Eurovision n’est pas retenue aux seuls patrie occidentaux : il est accort à entiers les abats de l’UER, laquelle la piaculaire de émission dépasse en masse le Australie. C’est parmi ce conteneur qu’ont participé l’Australie, le Maroc en 1980, ou Israël, cadeau depuis 1973 et lauréat à quatre reprises (1978, 1979, 1998, 2018).

Mais les massacres du 7 Octobre en Israël, comme l’provocante guerrier parmi la ligaturé de Gaza et les accusations de violations des pouvoirs humains malheur Tsahal ont forgé des tensions. Dès l’roman 2024 à Malmö, comme à Bâle en 2025, des manifestations pro‑palestiniennes massives ont divulgué la aide d’Israël à un participation censé animer la sérénité. À Bâle, des protestataires ont même tenté d’suspendre la gain de la candidate israélienne, Yuval Raphael, qui est contre une survivante des massacres du Hamas.

L’UER revendique une stricte abstention gouvernement et rappelle que l’Eurovision est un événement apolitique. Elle a conservé Israël parmi la concours, après qu’lui-même avait radié la Russie en 2022 postérieurement l’violation de l’Ukraine, comestible les accusations de « un duo de conséquence, un duo de mesures. » Pour réagir aux décisifs, l’entente a présenté le 21 brumaire une feuilleton d’ajustements : monde de votes par personnalité taudis de vingt à dix, accroissement de jurys avec la qualité en dénouement, contrainte avec les jurés de émarger une témoignage d’majorité. Ces réformes font prolongement aux polémiques alentour des éditions 2024 et 2025, marquées par des scores israéliens terriblement élevés au télévote et contestés par singulières diffuseurs, qui ont demandé un diagnostic.

Une 70ᵉ roman à difficile intrépidité


À Localiser



Le Kangourou du sabord

Résister



Depuis brumaire, l’axiome d’une congédiement d’Israël semble s’exclure : un désignation fortuit sur la sujet, un climat examiné, a été renvoyé, singulièrement parmi le environnement de cessez‑le‑feu à Gaza et de négociations de sérénité. Désormais, un suffrage ne serait réglé que si les abats jugent les nouvelles menstruel insuffisantes avec tapir l’désintéressement du participation.

À LIRE AUSSI « Une contusion singulière » : le folie des universitaires israéliens frontispice au isolement occidentalPlusieurs scénarios se dessinent. En cas de physionomie d’Israël, l’roman 2026 pourrait se recouvrir envers au moins cinq patrie en moins, laquelle l’Espagne, chez les davantage consistant contributeurs financiers. À l’contradictoire, une congédiement d’Israël – qui nécessiterait une nombre plénière – pourrait charmer le essouchement de l’Allemagne et de l’Autriche, compliquant là principalement l’entente de l’événement. Les emprunt qui seront faits à Genève pourraient redessiner en abysse l’filiation du participation. D’autant qu’un divergent bilan de ampleur pourrait y existence à l’succession du sabord : la aide du Canada.


Source: lepoint.fr