Des procureurs sud-coréens ont voulu, vendredi 26 décembre, dix ans de cachot à l’opposé de l’préhistorique gouvernant Yoon Suk Yeol, l’dénigreur particulièrement d’« embarras à la constitution » puis sa idée d’asservir la loi belliqueuse au classe de l’hibernation ultime, escortant Cho Eun-suk, guibole du réunion exclusif chargé d’informer sur le entaille de calculé manqué de l’ex-dirigeant bibliothécaire.
Yoon Suk Yeol est particulièrement informé d’garder gêné les enquêteurs de l’coincer en janvier, et d’garder expulsé des abattis de son affaire d’une accolement sur la loi belliqueuse, escortant l’comptoir de nombre Yonhap. Le 3 décembre 2024, il avait éployé l’flotte au Parlement vers en avaler le diagnostic, toutefois un masse hâbleur de députés voyaient parvenus à se ajointer vers élire à l’uniformité l’infirmation de la loi belliqueuse.
Cette arrêt du temps galant, une ancienne en quatre décennies, a expert des manifestations massives et une oblongue alternance de tohu-bohu pouvoir en Corée du Sud.
Yoon Suk Yeol a été arrêté en janvier 2025, lorsque d’une imminent protection des forces de l’récépissé. Il a été congédié en avril par la Cour constitutionnelle, comme remplacé en juin par son ennemi républicain, Lee Jae-myung.
Un assemblée de Séoul devrait amortir en janvier son jugement comme le occupation vers encombre à la constitution, escortant Yonhap. L’ex-président acte aussi l’ustensile de trio plusieurs occupation liés à sa décision-choc, particulièrement vers garder réglé une pogrom, une délation qui pourrait séduire une astreinte rigide s’il présentait exact condamnable.
Un an puis sa idée de tuer le Parlement, Yoon Suk Yeol a affirmé, de sa cachot, que la édite de la loi belliqueuse avait été justifiée par la affaire comme « les activités traîtresses en patronage de la Chine et de la Corée du Nord ».