Après la résolution de la FFR de boursicoteur réinterpréter Toec-Toac-Saverdun, la combat de ce dimanche 21 décembre a perdu en altercation avant-première peu préalablement la pause. Tension, cartons rouges et violences ont marqué un divertissement serré jusqu’au section.
Cette altercation semblait quasi réel postérieurement la résolution de la FFR d’acquiescer la démenti de Saverdun et de boursicoteur réinterpréter la combat.
Avant la pause, tandis l’germe de Mélési est inséré, la difficulté s’intensifie instantanément. La engagement est relevée et de dépravant brutalités s’échangent. Les poitrines se bombent, un lutte de coqs s’avéré, avec la conclusion dégénère. Les échanges deviennent de puis en puis violents. Le inventaire de non-retour est approché tandis le chiffre 5 siège soulève Galy et le projette environ au sol, et lui disposé des brutalités au maintien, battant son porche sourcilière.
Lassalle, en voulant barrer, s’est retrouvé accueilli parmi une serpentin de brutalités, se retrouvant lui également alors une porche cordiale : “Vu comment s’était passé le dernier match, c’était sûr que ça finirait comme ça, j’ai voulu aider et j’ai perdu” (rires). Une tribune choquante, présage d’un divertissement riche foncièrement enfui à quelque pointé. L’agent, éventuellement décliné, n’a pas su souffrir les frustrations nées de décisions contestées sur des faits de jeu régulièrement sanctionnés.
“C’était prévisible, c’était déjà chaud au match précédent, donc là c’est tombé”, commente Lucas Bézard. “C’était une rencontre extrêmement tendue, on savait que nous serions attendus, on s’en doutait, le mot d’ordre, si ça éclatait, était : on y va tous, on ne se lâche pas, on reste unis. Ça fait chier car le résultat, c’est deux cartons rouges et deux arcades ouvertes”, s’insurge Melesi.
“Cette bagarre était inévitable, il fallait bien que la pression retombe. Sur un match rejoué comme ça, ils avaient trop de haine et, à la moindre petite dispute, nous savions que ça allait monter dans les tours”, déclare Oswald Warnet, tenir et démiurge de Dylan, champion de Saverdun.