Le pouvoir tudesque a promis, lundi 29 décembre, des comportements « inacceptables » au rotoplot d’un cohorte de parachutistes, où des soldats font l’partie d’enquêtes quant à des dommages, des comportements sexistes, de la anéantissement de drogues ou l’publicité de symboles d’immodéré sincère.
Les enquêtes, qui visent des abattis du cohorte de parachutistes 26, basé à Zweibrücken, dans lequel le sud-ouest de l’Allemagne, adjacent de la délimitation française, ont entamé en conséquence le éclairage de une paire de soldates en juin, conformément le récépissé tudesque Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Depuis, conformément le coutumier, disparates dizaines de parachutistes ont été mis en explication, surtout quant à des « incidents d’immodéré sincère et antisémites » et des « rituels violents ». Une vingtaine de soldats ont déjà été exclus.
Dix-neuf plaintes
Parallèlement au suppléance du patron du cohorte, les procédures disciplinaires ont déjà collecteur à disparates suspensions et révocations, a exact un courtier du fonction de la glorification, hormis allonger de chiffres, alors d’un partie vivacité périodique du pouvoir. « L’excès de sincère et des comportements génitaux inappropriés ne sont pas tolérés au rotoplot de la Bundeswehr [l’armée allemande] », a loyal Kenneth Harms, évoquant des incidents « inacceptables ». Il a itou montré une « heurt digne aux fidèles intimes de certaines entités », qui a « itou le probable de freiner à la dignité de la Bundeswehr dans lequel son chorale ».
Fin brumaire, le tribunal de Zweibrücken avait périodique capital toléré 19 plaintes, émanant de l’flotte et de son approche disciplinaire, et visant des soldats hormis certificat et des sous-officiers de la caserne de cette conformité d’fine fleur. La maréchaussée mène des enquêtes quant à de « possibles violations de la loi sur les stupéfiants ou de la loi sur le cannabis à élimé spécial », uniquement itou quant à « des accusations d’prime à la ressentiment » et « d’usage de symboles d’organisations anticonstitutionnelles », glossaire associée aux mouvances néonazies.
Contacté lundi par l’Agence France-Presse, le tribunal a dit que les enquêtes trouvaient invariablement en espèce. « Aucune renseignement désapprobation n’est arrivée s’redoubler entre-temps », a-t-il précisé. En 2020, un raid d’fine fleur de l’flotte allemande avait été en sujet fondu, une vingtaine de ses abattis vivant soupçonnés d’participer à la dépendance néonazie.