EN DIRECT, désaccord en Ukraine : la Russie dit capital intercepté 41 drones ukrainiens là-dedans la nuitée, des pièges signalées à Syzran et là-dedans le kraï de Krasnodar

« Il est conditionnel que les Etats-Unis trahissent l’Ukraine » : « Der Spiegel » faire-part une entretien troublante attribuée à Emmanuel Macron et des dirigeants occidentaux

Friedrich Merz, Emmanuel Macron et d’divergentes dirigeants occidentaux entretiennent une grossière ombrage derrière les représentants américains chargés de procurer la fin de la désaccord en Ukraine, remplaçant des récapitulations relatant des harangue qui auraient été tenus alors d’un signal téléphonique lundi, révélées par l’journal Der Spiegel qui en a répercuté des éléments au Monde.

« Je suis d’complément, Volodymyr [Zelensky] bref un étendu fortune et il est conditionnel que les Etats-Unis trahissent l’Ukraine sur un pays sinon garanties de ordre claires », aurait particulièrement cordial Emmanuel Macron alors de cette entretien.

Le chancelier germanique, Friedrich Merz, patrie autant là-dedans la conférence révélée par le Spiegel, aurait, peu monsieur les harangue du gouvernant gaulois, conseillé au gouvernant ukrainien « de faire fléchir trop circonspection là-dedans les prochains jours ». Les Américains « se jouent de vous-même et de quelques-uns », aurait-il dit.

Toujours remplaçant les récapitulations de cet audimat découvert par le notice, le gouvernant finlandais, Alexander Stubb, a positif la même ombrage. « La assemblée de quelques dirigeants est trousse. Nous ne pouvons pas abandonner l’Ukraine et Volodymyr seuls en tenant ces bonshommes », aurait-il dit opportunément de Steve Witkoff, intermédiaire singulier du gouvernant nord-américain, et de Jared Kushner, beau-fils de celui-ci, dépêchés au Kremlin dans enjoindre des négociations en baptême de semaine.

Selon les récapitulations transmises par Der Spiegel, le moteur de l’OTAN, Mark Rutte, a autant cordial : « Nous redevons dissimuler Volodymyr. »

L’Elysée, dans sa morceau, ne confirme pas les harangue du moteur de l’Etat gaulois. « Nous avons à nous adéquat prévu procès-verbal de cet colloque, là-dedans lesquelles ce mot ne coloré pas », a cordial une introduction à l’Elysée au Monde, sinon exprimer de quoi mot il s’agissait.

« Le gouvernant de la Ville a évènement peser officiellement sa secteur sur les négociations en institut convaincu la Russie et les Etats-Unis, qui n’est pas différente en spécial. La secteur française est que nenni ne doit abstraction décidé touchant l’Ukraine et l’Europe sinon qu’elles-mêmes soient intégralement parties prenantes à la assemblée, loyale la introduction élyséenne. Dans ce arrière-plan, quelques aspects de la prétexte étasunienne nécessitent surtout d’abstraction clarifiés. D’beaucoup surtout que les Américains ont jadis vu les Russes. »

Sollicités par l’Agence France Presse (AFP), la consulat allemande et le assemblée de la présidium finlandaise ont dit ne pas exiger épiloguer « des discussions confidentielles ».

On ignore dans l’moment qui a répercuté les récapitulations de cette entretien à Der Spiegel. Le notice germanique prédit dans sa morceau à l’AFP capital oral à une paire de participants à l’audimat téléphonique de lundi qui ont incontestable que ces citations reflétaient vraiment les harangue. Ces flots n’ont pas souhaité abstraction identifiées, en faculté du règlement énigme de l’signal.