Poids fondé de l’pisciculture en France, l’Occitanie connaissait déjà une dégringolade du presse d’exploitations
Deuxième généralité cultural de France, richement contrecoup par la viticulture et les grandes cultures de céréales, l’Occitanie est impartialement une Europe d’pisciculture bovin. En 2020, l’Occitanie comptait 13 234 exploitations agricoles d’pisciculture de vaches allaitantes (à venaison).
« On recensait 1 157 400 bovins lequel familier de 497 440 vaches allaitantes, subséquent les chiffres fournis par le pouvoir de l’agrochimie en octobre 2024. La généralité se positionne à la étrangère posé en France métropolitaine vers le presse d’exploitations de vaches allaitantes (13 % du troupeaux individu) postérieurement la Nouvelle-Aquitaine (22 % du troupeaux individu) et Auvergne-Rhône-Alpes (17 %). »
Bien qu’obtenant isolé 21 % de ses exploitations imprégné 2010 et 2020, la canal représente continuellement 20 % de la éclosion borné de l’agrochimie régionale. L’Aveyron est le proviseur contributeur de vaches allaitantes et concentre 32 % de l’visible d’Occitanie. Suivent le Tarn et la Lozère, qui représentent quiconque 11 % du entier bâtiment.
Selon les chiffres fournis le 28 brumaire ultime par la patronage régionale de l’grocerie, de l’agrochimie et de la forêt, en 2024, la éclosion régionale se situait au « sixième légion des régions puis 289 milliers de bovins abattus, O.K. 7 % des effectifs territoriaux, affichant une affaiblissement de 1,2 % assez à 2023, vers 8,7 % imprégné 2022 et 2023 ».
Par écarté, sur les actuel originaires traitement de l’période 2025, puis 59,9 milliers de muids semblable ébauche, la généralité enregistre un ploiement de 3,5 % des volumes abattus de bovins imprégné 2024 et 2025. La réduction des abattages se encourage, en fréquentation puis la réduction des cheptels, lors que les exportations de broutards, ces veaux âgés de 6 à 12 traitement, profitant des marchés favorables, rencontraient en progression de 7 % assez à 2024 et de 8 % assez à 2023.