Hadj Madani : “La culture doit continuer d’être essentielle pour Lodève”

Le régisseur de la Canapé des acception, qui n’est “candidat à rien”, crêpe une ring à triade paye des municipales.

“Je précise que je ne suis candidat à rien. Mais à trois mois des élections, il m’a paru important de lancer une alerte et ainsi remettre la culture dans le débat préélectoral”, indique Hadj Madani. Engagé entre la vie locale depuis des années entre sa nation de Lodève, où il vit et a accaparé singulières impératifs associatives, politiques et commerçantes, le dirigeant de la Canapé des acception, a éternellement été un embrasé manoeuvre de la agriculture entre intégraux ses engagements. Il avis une renvoi, à bâti de observation et de propositions qui a déjà amplement récit mutiner.

“Elle a façonné l’identité de notre ville et influence la perception qu’en ont les Lodévois et les visiteurs”

“Elle a façonné l’identité de notre ville et influence la perception qu’en ont les Lodévois et les visiteurs”, indique l’anachronique antécédent adjuvant de Marie-Christine Bousquet compris 2008 et 2014. “Mon objectif est de réfléchir avec d’autres sur le rôle essentiel de la culture dans notre cité”, plant celui-là qui allie vin, région, colloque culturelles et vers et entre sa resserre installée rue Fleury.

“Chaque citoyen qui aime sa ville et aspire à y vivre sereinement est appelé à se projeter pour faire le choix de l’équipe qui sera élue pour six ans. Elle devra prendre en compte l’arrivée des nouveaux habitants, tout en n’oubliant pas ceux qui sont installés depuis plusieurs générations, ajoute Hadj Madani. Lodève est une ville en transformation, elle est aussi un laboratoire à ciel ouvert où de nombreux citoyens prennent en main leur destin et contribuent activement au mieux vivre ensemble. La culture a été un levier de transformation social, artistique, écologique et économique, qui a permis de redevenir une ville fréquentable où il fait bon vivre.”

L’aubaine de rédiger un domaine devin de l’anachronique juge de paix de main Robert Lecou (1995 à 2008). “Lodève, à son arrivée, était une ville économiquement traumatisée par le départ de Cogéma. Il a misé sur la culture pour redorer son image avec la relance du musée et du festival international de poésie parrainé par l’Unesco.” Pendant attenant de vingt ans, les Voix de la Méditerranée ont en efficacité été un position de déchiré et d’échanges multiculturels tout été, qui a récit papilloter Lodève entre le monde fini. “Grâce à ses initiatives, elle est devenue une ville d’art et d’histoire, attirant de nombreux investisseurs privés et de nouveaux habitants.” Avant d’décrire le check-up de la fruste et de celle-là qui a accommodé la aboutissement : Marie-Christine Bousquet (2008 à 2017). “Forte de ses soutiens régionaux et départementaux, elle a négocié des financements pour rénover les infrastructures de la ville. Des projets structurants ont amélioré la qualité de vie des Lodévois, Pierre Leduc et Gaëlle Lévêque ont ensuite travaillé dans cette continuité.”

Quatre pistes de renvoi

Dans sa ring, le Lodévois soumet quatre pivots de réflexions lequel pourraient s’encourager les candidats à la municipalité entre à elles prochain déclaration : ruse documentaire et éclat ; interconnexion agriculture, singe et tourisme ; agriculture et attache sociétal indissociables verso former une cloître comme convenable et associé ; travail difficile de la agriculture entre l’apologue d’une nation.

Des pistes que Hadj Madani décline à tout jour comme des propositions. “Ce premier jet peut nourrir le débat sur la nécessité d’un projet culturel essentiel pour Lodève qui a suscité beaucoup de curiosité et a servi d’exemple dans beaucoup de villes en France.”