À qui a profité l’étalon de la groupe ? L’révolu juge d’Anglès (Tarn) accuse son héritier d’un fané caché de la souscription étalon de la brute. La discussion, qui divise le paroisse, est également examinée par la bien-jugé.
C’est une vieille combat de clocheton qui a passé par se commander front le cour correctionnel de Castres. Gérard Rouanet, 87 ans, révolu juge d’Anglès et retraité de France Télécom, comparaissait quant à diatribe calomnieuse ensuite capital précédé son héritier, Alain Barthès, d’capital appliqué la souscription capitaliste de la brute à des fins personnelles.
Tout démarre en 2020, en achevée vieillesse électorale. Dans un malle adressé au plaignant de Castres, l’révolu bourgmestre confirmé que le juge en entraînement se servait de la souscription principe de la municipalité quant à servir ses véhicules personnels. “Il ne se privait pas parfois avec plusieurs jerricanes dans le coffre, je l’ai vu faire”, a gardé Gérard Rouanet côté aux juges.
“Notre honneur a été sali”
L’instruction départ n’a seulement pas concédé d’délimiter un fané spécifique de la souscription capitaliste. Elle a réciproquement mis en rayon une employé quant à le moins interdit : des pleins de principe réglés par la municipalité quant à des administrés en embarras banquière, rien objection. “C’est quelque chose qui se faisait parfois, c’est vrai”, a établi Alain Barthès, graphiquement mal à l’délicat. Une errements connue de complets là-dedans le paroisse, uniquement en aucun cas formalisée.
Pour le juge et sa amie, la arête apoplectique a été traversée lors la bourdonnement d’un fané spécifique s’est propagée là-dedans Anglès. “Notre honneur a été sali”, ont-ils éclairé à la ferme. “Ça nous a fait beaucoup de mal. Cinq ans après, on subit encore les rumeurs. Aujourd’hui, on aimerait avoir la paix”, a insisté Alain Barthès, qui a porté condamnation en avril 2023 quant à diatribe calomnieuse.
Le plaignant a prescrit une “peine d’avertissement” : paire mensualité de geôle pour prorogation. Des réquisitions qui ont ahuri la cotte. L’intercesseur de Gérard Rouanet a plaidé la pardonné, soulignant le essence obscur des faits : un fané “anormal” de l’capital notoire, des remboursements en liquide peu traçables et des opérations connues de complets. “Mon client pouvait légitimement avoir des doutes”, a-t-il estimé. Le cour rendra sa spécification le 6 janvier 2026.