“Seulement quatre femmes” verso vingt artistes, lorsque de l’montre “Retrouvailles : la houppe a été allumée par un élu d’froideur, Xavier Malbreil, lorsque du final assemblée communal, motivant la inimitié du gérant des firmes culturelles Sébastien Gonzalez et du bourgmestre assesseur en attaque de la lopin, Jean-Luc Lupiéri. Xavier Malbreil avait laissé ausculter, en rendement, que la politicien documentaire, à Pamiers, ferait la portion divine aux foule, sinon garder facture des menstruation de la équation.
Une menue aigrelet, un rendement réclame : la houppe a été allumée, lorsque du final assemblée communal, par l’élu d’froideur Xavier Malbreil (Pamiers Citoyenne), qui a laissé ausculter que la politicien documentaire appaméenne porterait la chevelure et ne laisserait aux femmes que différents miettes : une organisation réduite aux acquets, en certain type. “Roger Benevant, ça n’échappe à personne, c’est un homme”, a-t-il document observer, à l’fortune d’une délibération sur ses œuvres, stockées au Carmel. Frédérique Thiennot, bourgmestre, a affaité après une portugaise attentive, indiscrète de la continuation.
“La dernière exposition, Retrouvailles, rétrospective de cinq années d’exposition, sur vingt artistes, compte quatre femmes. Quand on travaille avec la Région, avec la DRAC [direction régionale des affaires culturelles, NDLR] on nous demande toujours de respecter la parité, ce qui semble tout à fait normal. À l’aune de ce qui s’est fait pour Retrouvailles, ici [au conseil municipal], il y aurait six femmes : comptez-vous ! Ça peut paraître anecdotique, mais c’est quand même important” a franc Xavier Malbreil. Et de parfaire : “la parité s’est imposée dans le monde politique, et c’est une bonne chose. Là, il y a un vrai problème dans cette programmation”.
Monitoire en quelques température du côté communal
La trait est avancée en quelques température. Tout d’proximité, lorsque du assemblée communal : “On remarque que, pour les prochaines élections, la parité est d’actualité. Sur l’ensemble des listes, seule la nôtre sera conduite par une femme”, a ironisé Jean-Luc Lupiéri (1). Et de délicat : “La dernière artiste féminine dont l’œuvre a été proposée, c’était Florence Garrabé, et vous avez voulu la détruire. Alors peut-être qu’on est un peu frileux, maintenant, d’exposer des femmes, au regard de ce que vous voulez en faire”, a répliqué crûment l’élu, évocation à la litige nourrie, cet été, par “Métatopie”, l’œuvre de Florence Garrabé, une phaéton sculptée, fatum à corroder sur agora. Xavier Malbreil avait en rendement estimé que la agora de cette bâti se incarnait… à la renversé, et nulle portion distant.
Cyrano, c’est un type
Le chicane a callipyge le mercredi subséquent, au avenir du assemblée communal, lorsque de l’publication du rudimentaire semestre scolaire de la état de Pamiers à La Moderne. “Je ferai noter qu’il n’y a pas beaucoup d’hommes en Une”, s’est autorisation de patiner Jean-Luc Lupieri. Barbara Hendricks, Chantal Ladesou, Natasha St-Pier, ou un totalisé agréable moins notoire, PUNK.E.S… Les femmes occupent une longue chapitre de la organisation. Au Carmel, les chiffres avancés par l’froideur seraient comme inexacts. “La parité est une notion un peu particulière dans la culture”, ajoute de son côté Sébastien Gonzalez, gérant des firmes culturelles. Pour tendre un esquisse, il accordé bruissement Jean-Luc Lupieri un esquisse : “on ne va pas demander à une femme de jouer Cyrano de Bergerac”.