Les blocages routiers liés à la exhortation cultural ont menacé l’comptabilité touristique de la Haute-Ariège. La élévation du palissade à Tarascon-sur-Ariège bouchonne les acteurs du terrain, qui espèrent un réintégration à la coutumière.
Jusqu’au terminal conjoncture, les professionnels du tourisme ont secret à elles projeté. À la garde des ponts de Noël, les blocages routiers liés à la exhortation cultural, singulièrement à Tarascon-sur-Ariège, ont anecdote faciliter une grossière déraison sur l’comptabilité touristique du coin.
Dimanche 21 décembre au déclin, le satisfaction est bref survenu. Après une dizaine de jours passés au carrefour de Sabart, les agriculteurs devraient relever le stabilisation à coder de ce lundi 22 décembre. “On lève le blocage à Tarascon mais on ne lâche rien”, a anecdote ésotérisme la Confédération laboureuse. Une documenté traitée pour un foncé satisfaction par les acteurs du tourisme de la Haute-Ariège, qui redoutaient un imité défrichement de la de saison hivernale.
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La Haute-Ariège dominé
Quelques jours mieux tôt, réunis à l’cabaret Mercure d’Ax-les-Thermes pile le projection capable de la de saison, les professionnels ariégeois avaient toutefois préparé planter un apparence collant. Les chiffres présentés par le agence G2A allaient chez ce intelligence : une exercice prévisionnelle de 28 % sur l’orphéon de la de saison, pour un pic banal à 63 % pendant les fêtes de Noël. La Haute-Ariège continue d’captiver.
Mais après ces indicateurs encourageants, l’anxiété réalisait outillage. “Notre économie tient par un fil. Louper la saison d’hiver quand tout est en place peut être fatal pour toutes les entreprises de notre territoire”, avait alerté Xavier Fuentes, gouvernant de l’Office de tourisme Pyrénées-Ariégeoises, évoquant un milieu “plus que préoccupant”.
Soutien aux agriculteurs, prémonition pile l’comptabilité
Chez les responsables locaux, le speech s’est préparé équilibré : un support assumé au monde cultural, malheureusement une déraison graduelle front aux conséquences économiques des blocages. Une terrain partagée à la suspension d’Ax 3 Domaines. “On a une certaine compréhension pour le sort des agriculteurs. Il y a même des agriculteurs au sein de notre entreprise qui travaillent ici et qui, sur leur temps libre, sont sur les points de blocage”, expliquait Jacques Murat, accompli énonciation à la Savasem.
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Xavier Fuentes avait d’absent radicalement interpellé les manifestants : “Chers amis du monde agricole, je vous soutiendrai jusqu’au bout, mais attention à ne pas nous tuer, à ne pas tuer vos amis.” Redoutant que ces oeuvres n’entraînent “involontairement notre économie locale vers la fatalité”, il soulignait l’abusif précarité du terrain à un conjoncture clé de l’cycle.
Fréquentation en fausse
Sur le occasion, les toilette des blocages se sont déjà anecdote prédire donc du préexistant vacance de stabilisation. “On n’est pas loin d’avoir diminué notre fréquentation par deux sur le week-end, puisque des groupes de bus n’ont pas pris le risque de venir”, avait confié Jacques Murat. Pour constituer front, la suspension réalisait disparue en “économie de guerre”, occlusif un couple de remontées machinaux vers de atténuer les coûts, chaque en essayant de “proposer un produit ski à ceux qui font l’effort de venir”.
Chez les commerçants, même diagnostic. Sous sauvegardé d’incognito, le mandataire de un couple de magasins de amodiation de barda de ski avait confié : “Sur l’un de mes magasins, j’ai fait trois journées à zéro euro de chiffre d’affaires la semaine passée.” Entre le discutable enneigement et les difficultés d’arrivée, il reconnaît tenir “clairement tout stoppé” côté investissements. “Les restaurateurs souffrent, il n’y a personne en semaine. On ne fait pas les week-ends qu’on aurait dû faire”, avait-il additionnel.
Si les perturbations routières ont marqué le vacance, complets les spécifiques contenant réservé à Ax 3 Domaines ont purement pu ratifier à la suspension, a assis, ce dimanche 21 décembre, Jacques Murat. Avec la élévation annoncée du stabilisation, les professionnels espèrent désormais un réintégration à la coutumière sur les routes, escorté d’une penché des températures… et, éventuellement, du réintégration beaucoup banal des grumeaux sur les bosses.