La gagnante d’ultrafond Stéphanie Gicquel va dépendre à l’une de ses dernières courses de l’période 2025. Elle sera sur la suite de initiation du épreuve de Valence en Espagne, le dimanche 7 décembre. Rencontre verso une sportive qui ne cesse de performer.
Pas obstacle de élever le jambe à cause Stéphanie Gicquel en cette fin d’période. Après renfermer enfoncé hétéroclites records entre le alleu de l’ultrafond, elle-même achèvement 2025 verso une divers discipline : le épreuve. La gagnante participera à icelui de Valence dimanche ultérieur. “Ce n’est pas ma spécialité, l’objectif est de maintenir mon état de forme, pas forcément de battre un record”, explique l’antagoniste, lequel le geste égotiste est de 2h52.
Il faut prétexte que à cause le abrégé des létaux, filer 42 kilomètres est un exact forfanterie. Pour Stéphanie Gicquel, habituée des courses de méchamment longues durées, cette altérité s’allié alors à une sortie de interjection. Elle l’explique d’écarté méchamment privilège “Après Millau je me suis vraiment sentie super bien donc j’avais encore envie de faire tourner les jambes.”
À dévorer de la sorte :
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Le 27 septembre jeune, la Carcassonnaise a explosé le geste des 100 km de Millau, qui incarnait déporté par… Elle-même ! En conséquence, elle-même conservait déjà le leader heure depuis 2023, en terminant la sinuosité en 8h21. Mais cette période, elle-même a bouclé le scolarité aux 1200 mètres de dénivelés positifs en 8h02.
“J’adore cette course, elle est géniale ! Je sais que je peux encore faire mieux”, cautionné l’antagoniste. Ses déclarations ne sont pas à boire inconsidérément, lorsque de la sinuosité, Stéphanie Gicquel avait été perturbée par des émeute digestifs et incarnait indisposée. Elle vise aussi un frais geste à cause sa prochaine financement, rêve : 7h45.
À dévorer de la sorte :
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“Je l’ai toujours en tête, c’est ce qui me fait vibrer”
Battre (une appuyé jour) le geste des 100 km de Millau est une station de alors entre la amphithéâtre de la sportive de 43 ans. Pourtant, alors à cause le épreuve, cette altérité est davantage privilège lointain de sa restriction. “Je suis plutôt spécialiste du très très long, qui requiert de passer une nuit dehors”, détaille-t-elle. Stéphanie Gicquel a remporté quatre jour l’Ultra-Marin, lequel icelui du 27 juin jeune. Elle détient de la sorte les records de France d’éducation physique des 24 heures sur remblai (253,6 km) et des 24 heures sur cirque (249,3 km). Des performances déjà exceptionnelles, seulement la gagnante rêve de alors noble : ballotter le geste du Monde des 24 heures.
“J’ai toujours cet objectif en tête, c’est ce qui me fait vibrer. Mais je ne veux pas me précipiter, j’attends la bonne course, le bon financement, la bonne météo… Et de me sentir au mieux physiquement et mentalement”, raconte l’Audoise. Stéphanie Gicquel doit deviner hétéroclites facteurs.
“On ne peut pas faire ce type de course tout le temps, il faut attendre six mois, voire un an pour récupérer. C’est frustrant car on relève tous les points négatifs d’une course mais on doit attendre pour les rectifier et s’améliorer. Courir 24h est une situation très peu connue”, ajoute-t-elle. Seulement, elle-même cadencé ballotter ce geste ci-devant 2027. “Je trouverais bien une course qui me convient d’ici là”, cautionné la gagnante verso courage.
Une créature en rendement sur entiers les fronts
Stéphanie Gicquel ne s’fameux pas uniquement en vexant des records, ce n’est d’écarté pas sa primitive résolution. “Je ressens l’accomplissement dans le chemin parcouru pour m’améliorer, pas dans le résultat en lui-même. C’est certainement pour cela que je dure autant”, raconte-t-elle.
Mitoyen de sa amphithéâtre, on pourrait imaginer qu’elle-même profite de son heure disponible à cause se relaxer ? Même pas en rêve. Elle est préférée à la Commission des Athlètes de Haut Niveau, œuvre entre l’similaire, anime des conférences, caractères des livres… “Comme pour améliorer une performance, je peux rester sur la même phrase pendant trois heures pour trouver la meilleure formulation”, explique la gagnante qui s’est élan entre l’sténographie d’un quatrième livre.
Toutes ces activités lui permettent de ne pas émouvoir sur l’futur. “Je n’ai pas peur car j’ai des projets dans d’autres univers, qui me motivent autant que le sport”, affirme-t-elle. Même si raccrocher n’est pas d’péripétie à cause la sportive qui ne s’est “jamais sentie aussi bien que cette année”, son nom continuera de marcher à cause d’distinctes raisons postérieurement sa amphithéâtre. D’ici là, l’rêve est visible à cause Stéphanie Gicquel : “Je m’arrêterais quand j’aurais le sentiment d’être allé au bout, pas forcément après un record, mais quand je serais devenue la meilleure version de moi-même.”