Le contradicteur de La Bonne Lycée à Montpellier a gâché, sabbat à Lodz en Pologne, et a aussi manqué l’aubaine de s’dégager de la bande des – 84kg du KSW.
“Il a perdu un combat mais pas la guerre”. Voici ce qu’on pouvait ravager sur les réseaux sociaux subséquemment la revers de Laïd Zerhouni, sabbat crépuscule, à Lodz en Pologne. Le Montpelliérain n’est pas discret dans lui, ce dimanche, envers la bande des – 84kg du KSW, l’fondation polonaise, seulement il a document garantie de ardeur et d’générosité adorables devanture au obtenant du accord qui évoluait à cause sa localité et endroit des milliers de supporters.
Le joute est allé alentour jusqu’à son solution. Disputé en cinq rounds de cinq minutes, Laïd Zerhouni, incessant sur apprêté par son plâtre, des amis et ses frères, s’attendait à une longuette affaire. Il peut existence bêcheur d’travailleur donné le slogan devanture à l’effectué Pawel Pawlak (35 ans).
“Merci pour la force”
Le Polonais a complet par l’embarquer au cinquième reprise miséricorde à une poignée de quille fatale au Franco-Algérien de 30 ans. Avant ce situation, le meublé a indifféremment conquis les débats. Dans le suivant reprise, il a engageant l’Héraultais au sol et l’a empêché de longues minutes.
Laïd Zerhouni, licencié au discothèque La Bonne Lycée à Montpellier, a résisté impudemment aux violences de boutoir de Pawlak. Rebelote boucle le témoin part seulement le Bulldozer, son homonyme, a moins subi. Lors du quatrième reprise, les une paire de combattants sont restés debout très en se rendant entaille à cause entaille.
Le Polonais a eu le moderne mot supposé que le Montpelliérain a mis un solution au rencontre. “Merci pour la force que j’ai reçue, expliquait-il après le combat sur Instagram. Ne vous inquiétez pas, tout va bien. J’ai perdu, je n’étais pas moi-même. Je ne veux pas me donner d’excuses mais je n’étais pas le bulldozer habituel. Il a gagné mais je reviendrai plus fort.”