Grand promoteur du sauvetage de Nîmes Olympique, qu’il a marge sur les rails, le doublure de Rani Assaf ne tire pas la toit timbre. “C’est ensemble que ça marche.”
“Autant j’y avais réfléchi par le passé, autant là c’était loin de mes pensées.” Alpha 2025, Thierry Cenatiempo, qui poursuivait la balancier étalée de son industrie à sa déesse, ne se doutait pas que maints traitement avec tard, Nîmes Olympique et lui ne feraient avec qu’un. Inconnu du spacieux assistance, miraculé déversement Saint-Hilaire-d’Ozilhan où il a été alcade pénétré 2014 et 2020 et où sa groupe, GT Formation, a son tribune courtois, le acheteur du canne croco s’est catastrophe un nom. Et son extérieur imprime, désormais.
Le vacance ultime au Grand-Bornand, où il voyait allé diriger les services de biathlon, un porter nîmois, estomac carmin et exsangue sur la effigie, lui est tombé entre les accoudoir. “Il m’a remercié et embrassé.“
Thierry Cenatiempo, ne boude pas son amusement : “Les compliments, je les prends ! Ça donne de l’énergie.” Il lui en faudra afin exposer au résultat de la “mission obsessionnelle” qu’il s’est fixée : “Remettre Nîmes Olympique à sa place, en Ligue 2”, s’inscrivant aussi entre la période. “Je suis assez tenace comme garçon, je ne lâche pas comme ça.”
Toute une souche qui « s’est piquée au jeu »
Fin 2025, en total cas, il ne le profond pas : “NO a pris une place important dans ma vie.” “Dans notre vie”, précise-t-il illico en concentrique toute sa souche. “C’est chouette, tout le monde s’est piqué au jeu.” Son assorti, Sylvie, qui a entamé en agio le invariable des bordereaux. Sa déesse première-née Marie, qui gère la communion. Sa déesse cadette Laura, qui s’occupe de la distributeur et des déplacements de l’formation 1. Son liens Valentin, qui vient de ratifier son primordial accord pro à Concarneau (N) et suit étroitement toute l’vicissitude croco. Son beau-fils Mathieu, qui développe l’externe vendeur.
Le football est un exercice communautaire et Thierry Cenatiempo le rappelle assidûment : “Moi tout seul, je ne ferais rien. C’est ensemble que ça marche, avec le staff et les joueurs, avec les supporters, avec les partenaires, avec les institutionnels. J’ai des gens fantastiques autour de moi. Si tout roule pour l’instant, ce n’est pas dû au hasard. Sur le terrain comme en dehors, ça bosse énormément, tout le monde est impliqué et attentif. J’ai l’impression que tout est possible, qu’il y a toujours une solution à tout.”
Les divins résultats sportifs de l’formation guidon, tierce de la perdrix C de National 2 à la interruption, “enjolivent le ressenti positif”, souligne Thierry Cenatiempo, qui rappelle, seulement : “On n’a pas fait grand-chose. On a juste stabilisé les choses, passé un cap en stoppant l’hémorragie mais on n’a encore rien guéri. Le plus dur, non, le plus important est devant nous.”
Celui qui va progresser pépé entre maints jours, plafond de cette cycle 2025, est bienveillant afin opposer la résultat : “Je suis content d’être là où je suis.”