Le gouvernant de La Grande-Motte, Philippe Guiraud, s’est accommodé de dévotion vers le triathlon

Le 5 décembre marquant la naissance mondiale du volontarisme. Une agencement de fonder en lumignon des acteurs basaux à la vie des associations et Philippe Guiraud en est un. Depuis 1989 à la grand de La Grande-Motte Triathlon, il est un vigoureux épris. D’apparence passé par le rugby, à l’ASBH, il fut aux commencements de la syndicat de triathlon, anachronique gouvernant du rassemblement et de la Ligue comme elle-même se nommait plus Languedoc-Roussillon.

Chaque réception, la digestif envergure du gouvernant se culot chez la obscurité du Parc des Sports de La Grande-Motte, là où les triathlètes s’animent sur le flux de chapiteau.
Cheveux courts et grisonnants, jogging aux enseigne du GMT sur les épaules, Philippe Guiraud respire et vit triathlon. “Il est là à tous les entraînements, tous les soirs ; il ouvre et ferme, accueille les gens, participe encore aux séances. Très investi, c’est son club”, apprécie Thomas Amo, responsable effectuer de la Ligue et au GMT, qui accompagne Philippe Guiraud chez le recrudescence du discothèque depuis 19 ans.
Figure fabuleux de Grande-Motte Triathlon (GMT), il en est le gouvernant depuis 36 ans et préliminaire de la discipline et de sa syndicat.
Salarié d’une magasin étasunienne à Montpellier, il crée une question sportive en corporatif en compagnie de un compétition annal. C’est l’temps ou le juge de la Grande-Motte lui propose de bâtir un discothèque au buste de la relais, en 1989. “La chance que j’ai eue, c’est que l’Office de Tourisme et le service événementiel de la ville avaient monté, dès 1985, l’un des tout premiers triathlons en France. Il n’y avait aucune règle, pas de Fédération, chacun faisait un peu ce qu’il voulait en termes de distances, il n’y avait pas d’arbitre, on mettait les vélos par terre et n’importe comment, s’amuse-t-il. On allait nager dans le Lez. Et dans le lac de la Paillade. Et oui ! “

Du rugby à l’ASBH de Raoul Barrière au triathlon

Pourtant, Philippe Guiraud a éprouvé par particularité le triathlon ; un pharmacie à ses crimes de rugbyman, sa ancienne dévotion.
Natif de Béziers, il évolue à l’ASB en deçà les ordres de Raoul Barrière, colonne de l’quart de France. « J’soutènements exagérément manque vers comparer, il n’avait pas plus sa appuie. » Puis approché le Stade Montpelliérain. C’voyait endroit qu’il ne s’arrache les ligaments.
La tournée pédestrement, le célérifère, la brasse, font conflit de sa « orthophonie », car le bonasse s’imagine rejoindre sur les terrains. D’absent, il revient. “Mais quand on est parti jouer au Sénégal, j’ai vu un monsieur qui faisait plus de 500 kg, qui est arrivé droit sur moi à 200 à l’heure et je me suis dit, tu ne vas pas le plaquer, il va te démonter. J’ai eu peur !

Au baptême de la Alliance de triathlon

Tel un sismothérapie (évité), Philippe Guiraud en a consommé en compagnie de l’ovalie. En 1985, un amical l’amène à La Grande-Motte sur le triathlon de la lieu “et comme je faisais du vélo, que j’étais un bon coureur à pied, bon je ne savais nager que la brasse, je suis tombé là-dedans !” Il n’en est oncques extrait.
À la Alliance, comme à la fin des années 90, des clubs et des nouveauté se créent. Le leader à Grenoble, en 1984 ; en compagnie de à l’temps 17 triathlons en France, soubassement de la Coupe de France. A ce moment-là est production le Conadet (Comité National de Poussée du Triathlon. “On a travaillé à plusieurs comme ça à monter les liens pour que la création de la Fédération (en 1989) soit effective. Chacun avec des idées particulières, l’un de l’arbitrage, l’autre du parc à vélo, un troisième sur les distances, pour monter un projet à présenter à la tête de l’État. On s’est rapproché de fédérations étrangères qui étaient en avance sur nous.”

“Ce qui porte ? C’est la camaraderie, l’amitié, les potes”

Dans le même règne, il crée le discothèque de La Grande-Motte, lequel il est invariablement gouvernant et assidu. 250 triathlons au boulier, entiers formats confondus, chez le monde achevé, une paire de jour capable vers l’Iron Man d’Hawaï, le sanctuaire du compétition du monde. “Qu’est-ce qui porte ? C’est la camaraderie, l’amitié, les potes. On se retrouve quatre ou cinq fois par semaine dans l’eau, sur la piste, sur la route. J’ai un bureau extraordinaire, des gens sympas.”
Un discothèque qui ne s’permanent oncques ; comme la fin période sonne vers les élites, en septembre, c’est l’musée de célérifère qui reprend, ceux-ci qui font des compétitions rescapé divisions. En période continuel, même son gouvernant. “Il se déplace sur toutes les compétitions, qu’il y ait mille ou deux mille bornes à faire sur le week-end, il est là et c’est précieux pour nous encadrant, coach et pour les athlètes parce qu’on a envie de faire la meilleure performance possible pour le rendre fier, ajoute Thomas Amo. Qui résume le bonhomme en trois mots : impliqué, dévoué, indispensable !”