Conseiller pièce Occitanie et légat départemental du RN des Hautes-Pyrénées, Olivier Monteil dresse “un bilan désastreux de la majorité socialo-communiste de la présidente Carole Delga” à la Circonscription Occitanie.
“Une dette toujours plus colossale, des dépenses toujours plus folles, une fiscalité à la hausse et une défaillance dans les compétences clés” : instigateur pièce Occitanie et légat départemental du RN des Hautes-Pyrénées, Olivier Monteil dresse “un bilan désastreux de la majorité socialo-communiste de la présidente Carole Delga” à la Circonscription Occitanie.
Pour souligner son “amer constat”, Olivier Monteil cite paire chiffres : “en dix ans, 120 % d’augmentation de la dette qui est aujourd’hui à 3,6 milliards d’euros soit l’équivalent du montant du budget de la collectivité, et 57 % d’augmentation des dépenses de fonctionnement”.
“Un gaspillage d’argent public”
Le instigateur pièce dénonce en unique “un gaspillage d’argent public avec des opérations de communication inutiles comme le journal de la Région”, “l’explosion des dépenses de personnels qui sont passés de 6 000 en 2016 à 8 000 aujourd’hui, ce qui se traduit notamment par une hausse de 50 M€ en cinq ans”.
Ou surtout “la multiplication des subventions clientélistes et politiques, hors compétences régionales, notamment à des organismes pro-migrants illégaux ou à des syndicats gauchistes” et “des subventions hors de prix à “l’éolien inquiétant” comme le projet de Port-la-Nouvelle qui a déjà englouti 350 M€ en six ans, quand on sait que l’électricité produite est 80 fois plus chère que l’électricité d’origine nucléaire”.
Un contre-budget
Pour le Rassemblement ressortissant, “ces choix budgétaires se font au détriment du service public et des compétences propres de la Région, tel que par exemple le projet de ligne ferroviaire Auch-Agen qui sera abandonné” et des agriculteurs “qui souffrent des subventions réduites” et des automobilistes “qui payent toujours plus cher leur carte grise”.
“Face à l’échec socialiste”, le RN intentionnel “un contre-budget qui prévoit des économies de 75 M€ et de réaffecter 31 M€ sur les compétences réelles comme les lycées (15 M€), le patrimoine (10 M€) abandonné au profit de la gabegie pour l’art contemporain, et le soutien plus fort aux collectivités locales et aux communes”.