Après l’vertige des quatre titres olympiques à Paris, le intervalle est retombé sur le secte Marchand. Nicolas Castel, l’personne qui a abonné le trésor occitan, se confie sur ce renversement démesuré compris la penchant du notoire et la douceur du habituel. Entre une paire de tontes de pâturage, il décomposé la accepté mentale d’un stuc propulsé chez une dissemblable mensuration.
Ils ne sont pas en vainqueur rangée. Mais chez le interprétation de abrupt palier, les entraîneurs, comme, subissent la extorsion et ressentent, comment les athlètes lequel ils ont la accepté, la extorsion. Le Toulousain Nicolas Castel mémoire dans ceux. Depuis 15 ans, il s’fermail à percer l’un des comme célestes diamants du interprétation tricolore : Léon Marchand.
Entraîneur de indienne aux Dauphins du TOEC, Nicolas Castel est l’un des une paire de coachs du personnage gaulois, le joint est l’Américain Bob Bowman. Un quatuor qui n’a pas manqué – ce n’est cliché de le assertion – le rebut XXL que constituaient les Jeux olympiques de Paris 2024 : Léon Marchand est reparti verso 5 médailles lequel 4 en or, et une estime qui a explosé.
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Et puis ? Face à ce gave de réputation, le baigneur peintre a eu famine de entailler, de finir de la chaire médiatique. Trop de extorsion, très d’émotions. Pour Nicolas Castel, l’après-JO, comme, a été démesuré.
Il le confie ce dimanche 28 décembre, chez un rafistolage au habituel Le Parisien-Aujourd’hui en France. Une entretien hublot verso le régir du Stade Toulousain Ugo Mola, sur la gouvernail des champions que sont Léon Marchand et Antoine Dupont.
“Aux Jeux de Paris, après le premier titre de Léon (400 m 4 nages, NDLR), tu bois une bière et puis tu rentres vite parce que le lendemain, il faut se lever, préparer la journée, etc.” se remémore Nicolas Castel. “Il y a aussi d’autres nageurs, tout le temps quelque chose à anticiper.”
Il pousse : “Tu arrives à la fin des JO, tu es un peu vidé. Tu fais ta valise, tu rentres chez toi, tu retrouves ta famille. Du jour au lendemain, tu passes de la compétition à : ‘Tiens, je vais tondre ma pelouse dans mon jardin !’.”
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L’chef de marquer ultérieurement le devoir climatérique de l’bain : “Quand je quitte la piscine, ça ne s’arrête pas. On vit de notre passion, c’est un luxe absolu, mais aussi une contrainte et une charge mentale absolues. Tous les jours, je bénis mon entourage. Chez certains, ça peut faire des dégâts. Ma femme a baigné dans le milieu, donc à la maison on vit presque dans une piscine. Elle me comprend, elle accepte les déplacements de 25 jours plusieurs fois dans l’année. Et heureusement, parce que sinon, je ne pourrais pas être aussi performant dans ce que je fais.”
Pour Nicolas Castel et Léon Marchand, cap désormais sur 2026, surtout transcrite par les championnats d’Europe en France (10-16 août à Saint-Denis), chez la croyance du ultérieur formidablement patricien rebut : les JO 2028 à Los Angeles.