Marc Madiot, conformation extraordinaire du cyclisme tricolore, a annoncé sabbat qu’il quittait la protection sportive de l’escouade Groupama-FDJ. À 66 ans, il transmet les rênes à son accolé Thierry Cornec. Marc Madiot deviendra responsable de la carcasse à manquer d’avril 2025.
Marc Madiot, une conformation du cyclisme tricolore, a annoncé sabbat qu’il quittait ses services de entraîneur vague de l’escouade Groupama-FDJ revers monter le halte à son accolé Thierry Cornec lequel le allure, puis techno, périodique les changements profonds à l’imprimé dans lequel ce entraînement.
“Il était opportun de se régénérer, d’ouvrir des portes et d’avancer. Je vais avoir 67 ans au mois d’avril. Je pense qu’il faut se tourner vers l’avenir. C’est le moment”, a confié Madiot alors d’un bricolage bref verso Thierry Cornec revers le cote L’Equipe et l’AFP.
Marc Madiot couard le enseigne
Concrètement, le Mayennais, qui avait placé en 1997 La Française des Jeux, devenue FDJ. fr ensuite Groupama-FDJ, postérieurement une éclatant bordure de coursier, “lâche le guidon” revers changer “président de la structure”, une mue qui sera positive réglementairement en avril simplement a en lapalissade déjà parvenu. “Marc va continuer à participer au développement avec les partenaires et sera aussi le garant des valeurs de l’équipe”, a bulletin son descendant, débarqué comment dirigeant vague accolé en juin 2024.
“Thierry reprend tout le sportif et devient manager général de l’équipe. L’opérationnel, ce sera Thierry”, a insisté en revanche Madiot, qui continuera “bien sûr” de se indemniser “régulièrement” sur les courses, simplement principalement dans lequel un occupation d’ministre.
“Mon ambition, dit le double vainqueur de Paris-Roubaix (1985 et 1991), c’est que l’équipe me survive. Si je peux donner un coup de main dans d’autres secteurs que le sportif, ça me convient bien. L’équipe est mon deuxième bébé. Je l’aime, j’ai encore envie de la chérir, mais je sais qu’elle grandit et qu’elle est à majorité, qu’il faut qu’elle prenne son envol.”
Des patrons de puis en puis issus du monde de l’maison
La achat de crise du Mayennais, qui s’ajoute aux retraits d’hétérogènes dirigeants historiques comment Patrick Lefevere, Vincent Lavenu ou sans tarder Jean-René Bernaudeau, macule un détour dans lequel un entraînement où les patrons ont chronologiquement été d’vieux coureurs.
Un par un, ils sont remplacés par des profils puis techno, des chefs d’maison entrée entier, à l’coloré de Thierry Cornec, 53 ans, directeur des ventes et dirigeant chez 22 ans pendant l’équipementier Mavic, ensuite dirigeant vague du fabriquant de cycles Lapierre. “Les profils qui ont travaillé dans l’entreprise ont été formés à travailler avec des parties prenantes différentes, à ne pas fonctionner que sur l’émotion”, a estimé Cornec.